lundi 29 décembre 2014

D'Angelo, quatorze ans plus tard.

Voilà quatorze ans qu'on attendait le troisième album de D'Angelo. C'est trop long, va falloir accélérer la cadence D. N'empêche le bidule qu'il vient de sortir est tellement bon qu'il enterre toute la concurrence black, y compris son Altesse Princière. L'album est juteux à souhait, il suinte le Groove, les gimmicks de production sont brillants, les instrumentistes sont inspirés. C'est un panard complet. Je lui en veux quand même pour les quatorze ans à faire du gras et à le perdre mais bon, c'est lui le Boss qui fait shaker les bootys. Ben oui, c'est pas Yannick Noah. Noah, lui, y fait du sport.


Plus smoothy, tu meurs. Soulful.

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