A mes yeux enamourés, Paul Weller n'a plus rien à prouver. Mais il continue à m'approvisionner en merveilleuse camelote.Voyez un peu. Non seulement il est du niveau de ses premières idoles que sont Steve Mariott et Pete Townsend mais il a la carrure de génies indiscutables qu'il adule aussi comme Terry Callier, Paul McCartney et Ray Davies. A cette altitude l'oxygène se raréfie et seuls des êtres très spéciaux trouvent une inspiration mystérieuse et sans équivalent quant à la beauté qui en résulte. Celle qui nous emmènent avec eux vers les sommets de l'émotion. Ce ne sont pas des surhommes, non; mais ils ont quelque chose de magique, des cases en plus qui les conduisent à l'expression fine et ciselée de ce que nous pouvons tous, de manière informe, ressentir. Ils nous aident à l'exprimer. Nous les aimons pour cela. Quoi de plus normal ? Alors, Weller ? Et Bien, catégorie heavy-weight : Champion du Monde ! Pour preuves ci-dessous, le classique "Wildwood" et une version nue à tomber à la renverse de "You do something to me" par le Maestro et la petite nouvelle, Céleste (tu m'étonnes !) Et maintenant Noël, tu prends ta pelle et ton seau et tu vas jouer ailleurs.
Paul Weller : "Wildwood"
Paul Weller et Céleste : "You do something to me"
Paul Weller : "Wildwood"
Paul Weller et Céleste : "You do something to me"
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