Deux petites choses des cousins de la famille Newman. Rien à voir avec Paul, mais avec Alfred Newman, un des plus prolixes pourvoyeurs de B.O. du cinéma classique américain.
D'abord une des plus belles chansons de Randy Newman (neveu d'Alfred) dans sa plus belle version, celle de Cilla Black, la copine des Beatles. "Je me suis déjà trompée avant" dit-elle. Le goût amer de la déception amoureuse, en pleine remontée d'amour. Une tristesse, quoi. Ca trouble et c'est splendide.
Ensuite la musique de "Road to perdition" de Thomas Newman (le fils d'Afred), qui a fait nombre de beaux scores pour le cinéma américain récent. "Américan beauty" par exemple, c'est lui. Laissez vous emporter par le lyrisme de la la mélodie du piano et celui des cordes. Ca donne envie de pleurer. Des larmes de crocodiles, peut-être, mais des larmes. Et ça, on ne peut pas cracher dessus. Personne. " Les violons ont toujours raison" : Louis Skorecki.
Bonus track. Voix magnifique, son parfait, montage empesé de plans longs et inhabituels ; génial.
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