On va encore dire que j'ai l'esprit mal placé ou que j'en veux à France Gall. Au contraire, je l'adore, surtout dans sa période sixties. Alors en 1966, elle sort les "Sucettes" desquelles elle dira plus tard n'avoir pas saisi le sens (évident) érotique. Ca me laisse toujours perplexe, cette "innocence". Deux ans plus tard, son propre père lui fait chanter "Rue de l'abricot", encore plus trouble et plus transparent à la fois. Et elle comprend toujours pas, France Gall ? Les bras m'en tombent. La copine de Claude François, obsédé sexuel s'il en était, pas au fait des choses de la vie et des façons de les dire ? Y'a abrutissement dans l'air ! Le sien ou le mien ? Et Maurice Biraud, qu'est ce qu'il en disait Maurice Biraud ? Voyons voir... Eh, eh, vue l'ambiance actuelle, ça ferait un carton leur petite chanson !!!
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