dimanche 14 octobre 2012

Encore un Nobel de littérature qui a tout à voir avec la politique....

Dans les années 60, c'était lui qu'on appelait "le boss", et pas Springsteen. Donc là, on voit "le patron" et ses petites mains s'employer à construire et faire sonner un petit rock classique et inventif. Du travail d'orfèvre. Que dire d'autre ? Il est tellement au-dessus du lot. Qu'est qu'ils foutent les Nobel ? Je n'ai rien contre les écrivains chinois, mais enfin, si le dernier nobélisé est aussi bon que J.M.G Le Clézio, je ne vois pas trop l'intérêt. Et si ça avait été Murakami qui l'avait eu, je ne l'aurais pas vu non plus. Pendant ce temps là, "le boss" trace et retrace son impeccable microsillon.

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