dimanche 27 décembre 2015

Come to me, Stevie.

Merde, où est-ce que j'ai encore foutu ma compil' de Jean Sablon ? Ah, vous êtes là...
Stevie Nicks. Cette petite sorcière a d'étranges et puissants pouvoirs sur moi. Elle peut m'envoûter avec de merveilleuses chansons et elle peut me faire bander. Rien de bien compliqué pour l'instant me direz-vous. C'est vrai pour ce qui est de me faire bander, les blondes aux cheveux longs et aux yeux bleus ont cet effet-là sur moi (là, les yeux sont noisettes mais c'est pareil). Mais les chansons, c'est autre chose, il faut savoir composer. Que cela soit en solo, avec Buckingham (son futur ex), ou Fleetwood Mac (une des machines à tubes les mieux rôdées des seventies), elle excelle à trouver les accords et les mots qui me touchent. Même mon ami Prince l'ambigüe est tombé sous le charme et lui a refilé des morpions et le riff de clavier de "Stand back". Je vais mettre deux ou trois photos de la garce à l'époque où elle était jeune et gouleyante et puis, des vidéos clips où on la voit, l'un avec Fleetwood Mac, l'autre en solo, quand elle s'est mise à vendre plus d'albums seule qu'avec le groupe de son boss de batteur (et amant).
Alors la voilà. C'est dentelles, bracelets, tulles savamment transparents et soieries.




Et en vidéo...


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