Un homme et une femme admirables : Françoise Fabian, Guy Marchand. Je ne sais pas d'où vient la photo. Elle est très belle.
Françoise Fabian. Plutôt que de poster un extrait de l'excellent "la Bonne Année" de Lelouch, je mets un extrait du très bon et plus profond "Vertiges" où elle fait face à un psychiatre fou-furieux campé par Marcello Mastroiani. Elle est splendide. Vous ne l'avez pas vu ? Le film ? Allez-y, c'est Bolognini, c'est garanti !
Je vous donne un truc technique. Dans ce film, Bolognini va systématiquement resserré le cadre sur Mastroiani (et sur lui seul de tous les personnages) par de légers zooms pour marquer l'enfermement qui l'aliène de plus en plus. Mais ça va un peu plus loin, ça devient le signe obsessionnel de sa folie d'accord, mais maladif par lui-même, un marqueur visuel qui lui est attaché, certes, mais qui finit par exister séparement, signe de la folie, et qui nous la communique jusqu'au malaise. Ce parti-pris de mise en scène devient donc signe à part entière, ce qui donne l'impression que le film lui-même est malsain. A la fin, le psychiatre devient complétement fou et les zooms cessent. Le film, et nous avec, sortons de la folie. Heureusement.
Bon, je ne retrouve plus "Vertiges" sur Youtube qui l'a fait sauté, comme vous pouvez le constatez. Il y a, sinon. C'est pas mal aussi. Françoise Fabian : "Faut pas me prendre".!!!
Bonus spécial : la Bande Annonce de "Ma nuit chez Maud" de Rohmer. Voilà un très grand film. Un film qui engage. Engageant. Comme la lecture des "Pensées" de Pascal, dont il est beaucoup question. Une remarque en passant sur le terme "engageant" que j'ai employé. Celle de la déperdition incroyable qui s'est opérée au fil des ans dans tous les compartiments du cinéma. Rohmer n'a pas cessé, lui, de concevoir de bons films, mais il faut bien se rendre compte qu'il s'est rabattu, et peut-être volontairement (et là, c'est une erreur ou de la pathologie), sur Lucchini, Dombasle, Ogier, Poupault, Gregory et consort pour les interpréter. Imaginons un instant "Ma nuit chez Maud" avec ce genre d'acteurs, et non pas avec les instruments de haute précision que sont Trintignant, Fabian, Barrault. Vous voyez le tableau ? Beaucoup moins engageant.
Guy Marchand. Impossible de trouver un extrait de "L'acrobate" de Pollet où il incarne une sorte de gentil génie du rare Claude Melki, impossible de trouver un extrait du beau "Loulou" de Pialat où il est simplement parfait, alors je me rabats sur le rigolo "Pt'it con" de Lauzier. 'J'vous opprime, moi, merde !"
Le type qu'il incarne s'appelle Bob Choupon. C'est bien, Lauzier, quand même.
Bonus spécial : Un extrait de "Dans Paris" de Christophe Honoré où Marchand donne la réplique à Louis
Garrel. Bien filmé
.
mercredi 28 novembre 2012
Que reste-t-il de nos amours ? Cette photo, vieille photo...
Libellés :
Acteur,
Amour,
Boxe,
Chic,
cinéma,
Court-métrage,
Erotisme,
Folie,
Grâce,
Guy Marchand,
Humaine,
Jeunesse,
Musique,
Politique,
Sex-symbol,
Société,
Tendresse,
Vieillesse,
Vieillir
dimanche 25 novembre 2012
New World Order (Curtis Mayfield)
Le 11 septembre 1990, devant le Congrès des Etats-Unis, le président George Bush senior appelait de ses vœux un "nouvel ordre mondial" (New World Order), ce qui ne manqua pas d'arriver. En effet, après la chute de l'autre moitié du Monde (les pays communistes) allaient pouvoir prospérer le mercantilisme et le modèle humain indépassable de la passion ravageuse du profit. Ce terrorisme du Capitalisme tout-puissant est notre réalité. Cette réalité est brutale, impitoyable, débilitante, en un mot, invivable.
1993. Curtis Mayfield, qui se relevait d'un AVC, sortait une magnifique chanson intitulée "New world order". C'est à un autre Monde qu'il pense, bien sur. Un monde où l'esprit souffle, où les esprits s'apaisent. Le combat se mène sur plusieurs fronts et de plusieurs manières. Une chanson comme celle de Mayfield est aussi insupportable au pouvoirs PHinanciers qu'un acte militant, bien plus même, car elle aère la tête, la prend avec elle, la berce doucement, alors que tout un chacun ne devrait penser qu'à la lutte, qu'à se situer dans cette lutte. Il ne s'agit pas d'un moment pris aux dépends du combat, ni d'un supplément d'âme petit-bourgeois, il s'agit bien d'un plaisir inacceptable volé à tous les pourvoyeurs de plaisirs obligés, un temps pour vivre volé à tous les calendriers de temps contraints. C'est simplement vivre. C'est ça qui devenu insupportable à nos élites PHinancières et politiques, que l'on puisse vivre sans elles, sans leur férule. Vivre, sentir, aimer, sans obligation d’achat, sans temps à gagner dans une course inepte, sans arrière-pensées consuméristes, sans sortir la carte bancaire. Vivre, d'une autre façon. 5 minutes 41secondes d'un Autre Ordre Mondial. Une éternité. Une éternité à soi, rien que pour soi, et qui finira, Dieu merci.
1993. Curtis Mayfield, qui se relevait d'un AVC, sortait une magnifique chanson intitulée "New world order". C'est à un autre Monde qu'il pense, bien sur. Un monde où l'esprit souffle, où les esprits s'apaisent. Le combat se mène sur plusieurs fronts et de plusieurs manières. Une chanson comme celle de Mayfield est aussi insupportable au pouvoirs PHinanciers qu'un acte militant, bien plus même, car elle aère la tête, la prend avec elle, la berce doucement, alors que tout un chacun ne devrait penser qu'à la lutte, qu'à se situer dans cette lutte. Il ne s'agit pas d'un moment pris aux dépends du combat, ni d'un supplément d'âme petit-bourgeois, il s'agit bien d'un plaisir inacceptable volé à tous les pourvoyeurs de plaisirs obligés, un temps pour vivre volé à tous les calendriers de temps contraints. C'est simplement vivre. C'est ça qui devenu insupportable à nos élites PHinancières et politiques, que l'on puisse vivre sans elles, sans leur férule. Vivre, sentir, aimer, sans obligation d’achat, sans temps à gagner dans une course inepte, sans arrière-pensées consuméristes, sans sortir la carte bancaire. Vivre, d'une autre façon. 5 minutes 41secondes d'un Autre Ordre Mondial. Une éternité. Une éternité à soi, rien que pour soi, et qui finira, Dieu merci.
Libellés :
Amour,
Curtis Mayfield,
Economie,
Enfer,
Feeling,
Funk,
Groove,
Guitar-hero,
Humaine,
Jeunesse,
Libéralisme,
Liberté,
Musique,
Noir et blanc,
Politique,
Songwriter,
Soul,
Tendresse,
Terrorisme,
Vieillesse
Ecrire une chanson : une bien louable ambition
Les spécialistes de la musique pour jeunes affirment que le dernier Grizzly Bear, "Shields", est décevant, qu'il n'y trouvent pas leur compte de bricolage pop haute précision qui fait qu'il pourrait rivaliser, techniquement, avec les machines. C'est possible. Je n'écoute que le dernier morceau de l'album : "Sun in your eyes". J'y trouve une très grande ambition, remarquable, celle d'écrire une belle et puissante chanson qui se développe sur prés de 7 minutes. Ils y parviennent avec brio. Ce n'est pas rien d'écrire une telle chanson. Ce n'est pas rien d'en avoir l'idée, de s'en donner les moyens et de le faire. C'est même beaucoup, en tout cas autant que les Beatles et les Beach Boys à leur meilleur. C'est cette ambition atteinte qui me ravit, comme me ravissent "A day in a life" et "Heros and vilains". Cette passion de musiciens pops insatisfaits me comble d'aise et je ne leurs demande que ça : encore, encore et encore de belles chansons venues du fond de l'âme.
On trouve les traces de cette ambition dans le dernier album des Beach Boys, et tout particulièrement dans la dernière chanson de l’opus nommé "That's why god made the radio". Oh, c'est en fond, ils ne peuvent plus, et ils le savent, se lancer dans une cantate de longue haleine. Mais, même cet échec là, si doux, si tempéré, a un goût de naufrage réussi, comme s'ils l'avaient presque fait : "Summer's gone". Oui, l'été s'en va, pas encore sans vous, pas encore sans nous. Avant qu'aucune mémoire ne fasse plus vivre aucun souvenir d'aucun passé, merci de nous le rappeler une fois de plus, même si le soleil semble un peu terni par de doux halos de brouillard.
On trouve les traces de cette ambition dans le dernier album des Beach Boys, et tout particulièrement dans la dernière chanson de l’opus nommé "That's why god made the radio". Oh, c'est en fond, ils ne peuvent plus, et ils le savent, se lancer dans une cantate de longue haleine. Mais, même cet échec là, si doux, si tempéré, a un goût de naufrage réussi, comme s'ils l'avaient presque fait : "Summer's gone". Oui, l'été s'en va, pas encore sans vous, pas encore sans nous. Avant qu'aucune mémoire ne fasse plus vivre aucun souvenir d'aucun passé, merci de nous le rappeler une fois de plus, même si le soleil semble un peu terni par de doux halos de brouillard.
Le disque dur, mon vieux, le disque dur.
Des gemmes oubliées par le Temps, pas par la mémoire.
50's - Nina Simone : "My baby just cares for me"
60's - Billie Joe Royal : "Hush"
70's - Mott the Hopple " Sea diver"
80's - The Style Council :" Paris Match"
90's - Jason Falkner : "I live"
00's Blur " Battery in your leg"
Une bonne nostalgie à venir se prépare sans attendre.
10's - Wild Beasts : "Smother""
50's - Nina Simone : "My baby just cares for me"
60's - Billie Joe Royal : "Hush"
70's - Mott the Hopple " Sea diver"
80's - The Style Council :" Paris Match"
90's - Jason Falkner : "I live"
00's Blur " Battery in your leg"
Une bonne nostalgie à venir se prépare sans attendre.
10's - Wild Beasts : "Smother""
Où est la nostalgie, Papa ?
Il y a au moins deux types de nostalgie. Celle, un peu amère, qui est un regret des erreurs commises. Bah, de toute façon, ce sont toujours les mêmes que l'on fait, à chaque nouvelle génération, alors... Elle est assez douce, presque enjouée comme la chanson des Faces qui l'exprime :" I whish that I knew what I know now, when I was younger..." C'est Ronnie Lane, et non Rod Stewart, qui chante. C'est le petit au milieu de la photo.
Il en est une autre plus radicale. Elle comprend aussi le regret mais est alourdie de la culpabilité qui dure et dont on ne peut se défaire. Quelque chose a été raté et son souvenir taraude encore. C'est Bob Seger qui l'exprime dans "Against the wind" :" I whish I didn't know now what I didn"t know then"... L'innocence est partie et le mal s'est installé.
Et puis, il y a la nostalgie terrifiante, folle, absurde de ce qu'on a pas connu, pas fait. Ces regrets là peuvent rendre fou, tant la frustration est béante et à jamais ouverte. Il y a des fureurs qui en sont nées. C'est une autre histoire. Terrible. Il faudrait mettre là une berceuse ou un Requiem.
Il en est une autre plus radicale. Elle comprend aussi le regret mais est alourdie de la culpabilité qui dure et dont on ne peut se défaire. Quelque chose a été raté et son souvenir taraude encore. C'est Bob Seger qui l'exprime dans "Against the wind" :" I whish I didn't know now what I didn"t know then"... L'innocence est partie et le mal s'est installé.
Et puis, il y a la nostalgie terrifiante, folle, absurde de ce qu'on a pas connu, pas fait. Ces regrets là peuvent rendre fou, tant la frustration est béante et à jamais ouverte. Il y a des fureurs qui en sont nées. C'est une autre histoire. Terrible. Il faudrait mettre là une berceuse ou un Requiem.
mardi 20 novembre 2012
mardi 13 novembre 2012
My name is Raitt, Bonnie Raitt.
Je ne ferai pas long sur Bonnie Raitt. Des nanas qui n'ont pas l'air de cruches absolues quant il s'agit d'aligner deux notes de solo de guitare (au bottleneck, qui plus est) je n'en connais pas deux mais une seule, c'est elle. Profiter Messieurs : une Femme.
Steely Dan contre Dr No.
J'en remets une couche. "The Nightfly" tiré de l'album solo de 1983 de Donald Fagen. C'est exactement la même chose que Steely Dan. C'est à ça que l'on reconnait les grands artistes : deux ou trois obsessions et LA LIBERTE. A l'époque, seul Stevie Wonder sonnait comme ça. D'ailleurs, ce sont souvent les mêmes musiciens qui jouent pour les deux. Regardez bien la pochette : Noir de chez Noir.
Je m'appelle Dan, Steely Dan.
Il existe encore des incrédules, des mécréants, des rebelles sans cause, bref des bois-sans soifs, pour aller en répétant à l'envie à des âmes innocentes et vulnérables que Steely Dan est un groupe hautain qui manque de "feeling". Alors, il me faut remettre l'ouvrage sur le métier. Voici une pépite soul tirée du dernier album de Steely Dan avant la séparation de 1981. Donald Fagen y constate avec une amertume teintée d'ironie et d'auto-dérision (comme toujours chez lui) qu'il n'a plus rien a dire aux gamins de 19 ans ( les Punks, les New-Waves, pour faire gras. C'était moi, en l’occurrence, mais ça aussi, c'est dans la chanson). Et il paye sans rechigner son tribut aux Maîtres et Reines qui l'ont inspiré. Aretha Franklin est clairement citée et, que je sache, elle n'était pas connue pour pratiquer le Garage US.
Ah, que c'est bon ! C'est groovy, c'est juteux, c'est délicieux ! Et d'ailleurs, on entend Fagen marmonner de plaisir pendant une grande partie de la chanson. Si CA, c'est pas de la SOUL, je mange ma collection de disque de chez TAMLA MOTOWN !
MAIS, il est vrai que ce n'est pas racoleur (ce n'est pas Wilson Pickett, ni même l'Issac Hayes de "Shaft"), que c'est une soul subtile, d'élite, soignée, faite pour prendre soin de soi et des autres. D'AILLEURS, qui citerait dans une chanson la seule marque de Téquila un peu classe sur le marché, la Cuervo Gold, s'il n'avait à cœur de faire les choses bien, dans les règles de l'Art ? Personne, sauf de méticuleux et grands artistes Soul.
La Cuervo Gold est la seule Tequila qui puisse se comparer à un cognac. Alors, si vous voulez faire du Binge Drinkin' sur du Dubstep de merde (et j'admets volontiers qu'il en existe aussi du bon), c'est votre problème !
Je mets les paroles, elles sont magnifiques. Il y a des références à la culture populaire américaine mais vous trouverez facilement les explications sur le Net.
NB : Donald Fagen vient de sortir un album solo impeccable. Aussi bon que celui de Neil Young, dans un tout autre genre.
Way back when in 67
I was the dandy
Of Gamma Chi
Sweet things from Boston
So young and willing
Moved down to Scarsdale
And where the hell am I
Hey Nineteen
No we can't dance together
No we can't talk at all
Please take me along
When you slide on down
[ Lyrics from: http://www.lyricsfreak.com/s/steely+dan/hey+nineteen_20130113.html ]
Hey Nineteen
That's 'Retha Franklin
She don't remember the Queen of Soul
It's hard times befallen
The sole survivors
She thinks I'm crazy
But I'm just growing old
Hey Nineteen
No we got nothing in common
No we can't talk at all
Please take me along
When you slide on down
The Cuervo Gold
The fine Colombian
Make tonight a wonderful thing
We can't dance together
No we can't talk at all
Ah, que c'est bon ! C'est groovy, c'est juteux, c'est délicieux ! Et d'ailleurs, on entend Fagen marmonner de plaisir pendant une grande partie de la chanson. Si CA, c'est pas de la SOUL, je mange ma collection de disque de chez TAMLA MOTOWN !
MAIS, il est vrai que ce n'est pas racoleur (ce n'est pas Wilson Pickett, ni même l'Issac Hayes de "Shaft"), que c'est une soul subtile, d'élite, soignée, faite pour prendre soin de soi et des autres. D'AILLEURS, qui citerait dans une chanson la seule marque de Téquila un peu classe sur le marché, la Cuervo Gold, s'il n'avait à cœur de faire les choses bien, dans les règles de l'Art ? Personne, sauf de méticuleux et grands artistes Soul.
La Cuervo Gold est la seule Tequila qui puisse se comparer à un cognac. Alors, si vous voulez faire du Binge Drinkin' sur du Dubstep de merde (et j'admets volontiers qu'il en existe aussi du bon), c'est votre problème !
Je mets les paroles, elles sont magnifiques. Il y a des références à la culture populaire américaine mais vous trouverez facilement les explications sur le Net.
NB : Donald Fagen vient de sortir un album solo impeccable. Aussi bon que celui de Neil Young, dans un tout autre genre.
Way back when in 67
I was the dandy
Of Gamma Chi
Sweet things from Boston
So young and willing
Moved down to Scarsdale
And where the hell am I
Hey Nineteen
No we can't dance together
No we can't talk at all
Please take me along
When you slide on down
[ Lyrics from: http://www.lyricsfreak.com/s/steely+dan/hey+nineteen_20130113.html ]
Hey Nineteen
That's 'Retha Franklin
She don't remember the Queen of Soul
It's hard times befallen
The sole survivors
She thinks I'm crazy
But I'm just growing old
Hey Nineteen
No we got nothing in common
No we can't talk at all
Please take me along
When you slide on down
The Cuervo Gold
The fine Colombian
Make tonight a wonderful thing
We can't dance together
No we can't talk at all
Libellés :
Alcool,
Bijou,
Feeling,
Femme,
Glamour,
Grâce,
Jeunesse,
Mode,
Musique,
Pop,
Société,
Solid Gold,
Songwriter,
Soul
jeudi 8 novembre 2012
Mesdames et messieurs, Mon Top Five à moi de Bruce Willis.
Je ne sais pas ce qui se passe mais tout le monde y va de son Top 5 ou Top 10 des films avec Bruce Willis. Et évidemment, de Télérama à AlloCiné, tout le monde couronne les mêmes merdes signées Tarentino ou M. Shyamalan. Je ne vois pas de raison valable à ce que je me prive de faire MON Top 5 des performances de cet acteur attachant et tout-terrain. Ne vous inquiétez pas si vous ne connaissez pas ces films, c'est normal, ce sont de bons films et ça fait bien longtemps que plus personne ne parle des bons films, environ 30 ans. Hue donc !
N°1 - "Breakfast of Champions" d'Alan Rudolph (tiré d'un excellent livre de Kurt Vonnegut. Vous ne connaissez pas ? C'est normal, etc etc etc....)
N°2 - "Boires et Déboires" de Blake Edwards
N°3 - "Un héros comme tant d'autres" de Norman Jewison
N°4 - "Un Homme presque Parfait" de Robert Benton (Il y tient un second rôle mais le film est simple et superbe. Vous ne le connaissez pas ? Etc,etc, etc....)
N°5 - "Bandits - Gentlemen cambrioleur" de Barry Levinson (Avec Cate Blanchett plus bandante et émouvante que jamais. Etc, etc, etc....)
En bonus track spécial édition collector remasterisé, je mets son rôle dans "Moonrise Kingdom" de Wes Anderson. Je ne l'ai pas vu mais j'ai du mal à imaginer un mauvais Bruce Willis dans un mauvais film d'Anderson. Comment ? Quoi ? s'insurgent les puristes du, "il faut voir pour dire son avis", ou du, "comment tu peux critiquer, tu l'as pas vu", ou encore du, " tous les goûts sont dans la Nature" ? Est-il possible de dire cela ? (Vous remarquerez qu'il y a toujours un con ou une conne, généralement de gauche, pour dire ces imbécilités dans une soirée). Bof, passé un certain âge, avec un bagage cinéphilique conséquent, ce n'est même plus la peine (car neuf fois sur dix, c'est effectivement pénible) de voir les films. Un trailer, un extrait, deux mots, une chanson, un bout de générique, le nom de la costumière, ça suffit largement.
N°1 - "Breakfast of Champions" d'Alan Rudolph (tiré d'un excellent livre de Kurt Vonnegut. Vous ne connaissez pas ? C'est normal, etc etc etc....)
N°2 - "Boires et Déboires" de Blake Edwards
N°3 - "Un héros comme tant d'autres" de Norman Jewison
N°4 - "Un Homme presque Parfait" de Robert Benton (Il y tient un second rôle mais le film est simple et superbe. Vous ne le connaissez pas ? Etc,etc, etc....)
N°5 - "Bandits - Gentlemen cambrioleur" de Barry Levinson (Avec Cate Blanchett plus bandante et émouvante que jamais. Etc, etc, etc....)
En bonus track spécial édition collector remasterisé, je mets son rôle dans "Moonrise Kingdom" de Wes Anderson. Je ne l'ai pas vu mais j'ai du mal à imaginer un mauvais Bruce Willis dans un mauvais film d'Anderson. Comment ? Quoi ? s'insurgent les puristes du, "il faut voir pour dire son avis", ou du, "comment tu peux critiquer, tu l'as pas vu", ou encore du, " tous les goûts sont dans la Nature" ? Est-il possible de dire cela ? (Vous remarquerez qu'il y a toujours un con ou une conne, généralement de gauche, pour dire ces imbécilités dans une soirée). Bof, passé un certain âge, avec un bagage cinéphilique conséquent, ce n'est même plus la peine (car neuf fois sur dix, c'est effectivement pénible) de voir les films. Un trailer, un extrait, deux mots, une chanson, un bout de générique, le nom de la costumière, ça suffit largement.
Inscription à :
Articles (Atom)