samedi 16 avril 2011

Deux avis divergents

Apollinaire
L'adieu du cavalier

Ah Dieu! que la guerre est jolie
Avec ses chants ses longs loisirs
Cette bague je l'ai polie
Le vent se mêle à vos soupirs

Adieu! voici le boute-selle
Il disparut dans un tournant
Et mourut là-bas tandis qu'elle
Riait au destin surprenant
 
Edwin Starr 

En tout cas c'est foutrement humain.

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