jeudi 30 avril 2020

Extra classiques classieux par Keith Richards.

Récemment Keith Richards a mis en ligne la liste des morceaux qui lui sont indispensables et qu'il emmènerait avec lui sur la fameuse île déserte. Je suppose qu'il met à profit son confinement pour les écouter, comme Ron Wood passe le sien à peindre d'excellents portraits des membres des Stones.
Les morceaux que Richards a choisi sont tous géniaux, peu connus et je les mets sur ce blog pour qu'un maximum de personnes soit touché par la Grâce Stonienne (à part les Quatre Saisons de Vivaldi par Nigel Kennedy qui prouvent simplement que Richards n'y connaît rien en musique classique).
Tous les morceaux parlent d'Amour.
Chuck Berry "In the Wee Wee hours."

Hank Williams : "You win again".
"Aaron Neville" : "My true story".
Etta James : "Sugar on the floor".

Freddie Scott : "Are you lonely for me Baby".

Gregory Issacs : "Extra classic."

Little Walter : "Key to the highway".


"C'est rien, c'est Japonais. Hum, hum !" Oncle Rock (de mauvaise foi).

C'est entendu, tout nous vient d’extrême-orient, les bons morceaux, les morceaux cosmiques, les nouilleries, les maladies mortelles, les films, les gadgets, tout ce dont on se sert au jour le jour, toutes les choses plus ou moins utiles et les plaisirs ou les peines qui vont avec. Il faut se révolter ou accompagner le mouvement, de toute manière, souffrir le moins possible.
Pour la musique c'est pareil, j'ai beau écouter Dylan, Oasis, les Pixies, Big Thief ou Sharon van Etten, le morceau qui m'a le plus remué ces derniers mois, c'est celui-là. Japonais. D'où leur est venue l'idée géniale du riff de base du morceau en taping? Je ne sais pas, j'écoute et je profite, docile. Ca vaut du Prince.

Et la suite. Allons-y.

Et zou ! Phoenix en mieux.

"Cherchez le Caribou"

Défoncées !
A quoi ? Je ne sais pas. C'est du costaud, en tout cas.


mardi 28 avril 2020

Les Beatles meilleurs que les Stones ? Ca dépend du temps.

- Oncle Rock ! Oncle Rock !
- Oui mes neveux. Oui, Rara, Fafa et Liloo...euh Liloo ?
- Oui, Oncle Rock, je suis transgenre.
- Ah bon ! Tu me rassures ! Je croyais que t'étais pédé.
- Oncle Rock, arrête de débloquer et dis nous,  c'est les Stones ou les Beatles les meilleurs ?
- Ah, je vois que vous lisez la presse et les déclarations respectives de McCartney et Jagger qui ont relancé cette éternelle querelle.
- Alors ?
- Eh bien tout ça est un peu biaisé par le facteur Temps et le fait que les Stones sont en position d'enterrer toute la concurrence pour cause de Mort. Ce qu'il faut vous mettre dans la tête, les kids, c'est que les Beatles ÉTAIENT les meilleurs, c'est indiscutable, mais que les Stones SONT les meilleurs, et que ça aussi, c'est indiscutable. Écoutez "Commit a crime", une reprise tirée du dernier album, Blue and Lonesome, et bien absolument plus personne n'est capable, hormis les Stones, de balancer, un blues aussi violent, aussi incendiaire, une véritable bourrasque de haine, personne et surtout pas Jack White ou les Black Keys, les pauvres. Et il est où le dernier album des Beatles, hein, il est où ?
- Oncle Rock, tu vas toujours trop loin !
- Ouais, peut-être. Peut-être pas. Tenez, prenez ces vingts balles et allez acheter des masques contre le Covid. Avec ça vous roulerez des palots à vos copines en toute sécurité, eh, eh ! Entraînez-vous, je veux que ça tourne comme une machine à laver sur essorage !
The Rolling Stones : "Commit a crime".

The Rolling Stones, la chanson du confinement (Quel timing, ces Stones !) "Living in a Ghost Town".

vendredi 24 avril 2020

Diana Rigg ? Simply Irresistible !

Les images. Les images de femmes. Je ne m'en lasse pas. Elles me subjuguent. Un vrai mateur. Fort heureusement je ne suis pas le seul malade sur cette Terre et j'ai trouvé cette aberration sur YouTube, qui marie avantageusement mon goût pour Robert Palmer et mon idolâtrie venue de l'enfance pour Diana Rigg. Elle incarnait Emma Peel dans "Chapeau Melon et Bottes de Cuir", série magnifique des sixties et seventies qui accumula les beautés supérieures Made in England aux cotés de Patrick Macnee. Des souvenirs. Des rêves.

"Le chasseur fait prisonnier." Fable de Smokey Robinson.

Imaginez un peu la rencontre de da Ponte, la Callas et Beethoven. Du beau linge, hein ? Et bien voici Smokey Robinson dans le rôle de da Ponte, Tracy Thorn dans celui de la Callas, et les Massive Attack endossant celui de Ludwig von B. Vous me direz, c'est pas la même chose. Si, c'est pareil. Le même talent à revendre, la même Beauté.
Il en résulte un chef d’œuvre improbable et imparable, passé presque inaperçu.
Massive Attack  : "The hunter gets captured by the game" de Robinson.

Noir sur blanc ? Blanc sur noir ? Tout dépend des goûts (qui sont dans la Culture).

Au petit jeu des comparaisons, on peut se perdre. Encore un peu. En perdre son latin ou son wolof. Ça peut aussi aider à débrouiller les choses. Selon ce que vous préférez ça dégage des tendances, pas forcément définitive, peut-être pour une journée simplement, peut-être plus en profondeur. Ainsi, préférez vous le Rap ou les guitares saturées ? Écoutez, faites votre choix, de toute manière comme le dit Roger Troutman : "Tout ça se ressemble !" Mais il ne cite QUE des noirs.... Vous me direz, c'est l'Amérique ces communautés qui se côtoient sans se toucher, sans s'aimer...A voir, à voir, ça va vite par chez nous aussi et quand j'achète des vinyles de musique funk sur le net à des particuliers, ils habitent toujours aux bons endroits (les banlieues) et sont à peine polis (l'orthographe, elle, est morte par chez eux). Sont-ils encore mes compatriotes, comme nous appelle Macron ? Certainement un peu, mais plus beaucoup, non, plus beaucoup. D'où je suis, c'est-à-dire avec eux, ils auraient plutôt tendance à se transformer en extra-terrestres, avec des us et coutumes bien à eux, qui ne me concernent pas. Les gangs, ça ne me dit rien de bon. Bien sur l'âge joue un rôle, mais je ne suis pas encore un tas de rouille à fondre avec les restes d'autres vieux débris.
Cherelle.

Robert Palmer

De la Soul

Hall and Oates

Spandau Ballet PM Dawn Roger Troutman

vendredi 17 avril 2020

Daniel, Bob et David nous parlent de l'Amour et de la Mort.

Sur B., la ville où j'habite, il pleut et le tonnerre claque au loin, doucement. C'est peut-être un "beau jour pour mourir", dirait Peau de la Vieille Hutte. Christophe est mort hier, à Brest. Dans le soleil. Son ami, même quand il est noir. Dylan sort un nouveau morceau, simple et émouvant : "Je contiens des multitudes". David Hockney attend la Mort en Normandie. De toute façon, depuis la plus haute antiquité on sait qu'il faut se préparer à la Mort. Le seul moyen de mourir en paix c'est d'avoir dispensé et reçu son quota d'Amour. Presque un même poids exact sur la balance. Aimer, puis mourir. C'est tout ce qui compte.
Tiré de l"album "Aimer ce que nous sommes": Parle lui de moi", de Christophe.
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Lettre de David Hockney.
«Chère Ruth,
Nous sommes actuellement en Normandie, où nous avons séjourné pour la première fois l’année dernière. J’ai toujours eu en tête de m’organiser pour vivre ici l’arrivée du printemps. Je suis confiné avec Jean-Pierre et Jonathan, et jusqu’ici tout va bien pour nous. .Je dessine sur mon iPad, un medium plus rapide que la peinture. J’y avais déjà eu recours voilà 10 ans, dans l’East Yorkshire, quand cette tablette était sortie. Avant cela, j’utilisais sur mon iPhone une application, Brushes, que je trouvais d’excellente qualité. Mais les prétendues améliorations apportées en 2015 la rendirent trop sophistiquée, et donc tout simplement inutilisable! Depuis, un mathématicien de Leeds, en Angleterre, en a développé une sur mesure pour moi, plus pratique et grâce à laquelle j’arrive à peindre assez rapidement. Pour un dessinateur, la rapidité est clé, même si certains dessins peuvent me prendre quatre à cinq heures de travail.
Dès notre découverte de la Normandie, nous en sommes tombés amoureux, et l’envie m’est venue de peindre et dessiner l’arrivée du printemps ici. On y trouve des poiriers, des pommiers, des cerisiers et des pruniers en fleur. Et aussi des aubépines et des prunelliers. Dans l’East Yorkshire, nous n’avions qu’aubépines et prunelliers. Nous sommes tombés sur cette maison au grand jardin - moins chère que tout ce que nous aurions pu trouver dans le Sussex - comme une rencontre attendue et espérée depuis longtemps.
J’ai immédiatement commencé à dessiner dans un carnet japonais tout ce qui entourait notre maison, puis la maison elle-même. Ces créations furent exposées à New York, en septembre 2019. Mais étant fumeur, je n’ai pas d’attirance pour New York et n’y ai jamais mis les pieds.



David Hockney, «No. 125», 19 mars 2020, dessin sur iPad.
David Hockney, «No. 125», 19 mars 2020, dessin sur iPad. © David Hockney

Nous sommes revenus en Normandie le 2 mars dernier et j’ai commencé à dessiner ces arbres décharnés sur mon iPad. J’y suis en ce moment, avec Jonathan et Jean-Pierre. Depuis que le virus a frappé, nous sommes confinés. Cela ne m’impacte que peu, mais Jean-Pierre (Gonçalves de Lima, son bras droit, NDLR) et Jonathan, dont la famille est à Harrogate, sont plus affectés.
Qu’on le veuille ou non, nous sommes là pour un bout de temps. J’ai continué à dessiner ces arbres, desquels jaillissent désormais chaque jour un peu plus bourgeons et fleurs. Voilà où nous en sommes aujourd’hui.
Je ne cesse de partager ces dessins avec mes amis, qui en sont tous ravis, et cela me fait plaisir. Pendant ce temps, le virus, devenu fou et incontrôlable, se propage. Beaucoup me disent que ces dessins leur offrent un répit dans cette épreuve.
Pourquoi mes dessins sont-ils ressentis comme un répit dans ce tourbillon de nouvelles effrayantes? Ils témoignent du cycle de la vie qui recommence ici avec le début du printemps. Je vais m’attacher à poursuivre ce travail maintenant que j’en ai mesuré l’importance. Ma vie me va, j’ai quelque chose à faire: peindre.
Comme des idiots, nous avons perdu notre lien avec la nature alors même que nous en faisons pleinement partie. Tout cela se terminera un jour. Alors, quelles leçons saurons-nous en tirer? J’ai 83 ans, je vais mourir. On meurt parce qu’on naît. Les seules choses qui importent dans la vie, ce sont la nourriture et l’amour, dans cet ordre, et aussi notre petit chien Ruby. J’y crois sincèrement, et pour moi, la source de l’art se trouve dans l’amour. J’aime la vie.
Amitiés, David Hockney»
Ses derniers dessins sur Ipad.

Le dernier Dylan : "I contain Mutitudes" Nous sommes tous.

Les paroles :
Today, tomorrow, and yesterday, too
The flowers are dyin' like all things do
Follow me close, I’m going to Balian Bali
I'll lose my mind if you don't come with me
I fuss with my hair, and I fight blood feuds


I contain multitudes

Got a tell-tale heart, like Mr. Poe
Got skeletons in the walls of people you know
I’ll drink to the truth and the things we said
I'll drink to the man that shares your bed
I paint landscapes, and I paint nudes
I contain multitudes

Red Cadillac and a black mustache
Rings on my fingers that sparkle and flash
Tell me, what's next? What shall we do?
Half my soul, baby, belongs to you
I relic and I frolic with all the young dudes
I contain multitudes

I'm just like Anne Frank, like Indiana Jones
And them British bad boys, The Rolling Stones


I go right to the edge, I go right to the end
I go right where all things lost are made good again
I sing the songs of experience like William Blake
I have no apologies to make
Everything's flowing all at the same time
I live on the boulevard of crime
I drive fast cars, and I eat fast foods
I contain multitudes

Pink petal-pushers, red blue jeans
All the pretty maids, and all the old queens
All the old queens from all my past lives
I carry four pistols and two large knives
I'm a man of contradictions, I'm a man of many moods
I contain multitudes


You greedy old wolf, I'll show you my heart
But not all of it, only the hateful part
I’ll sell you down the river, I’ll put a price on your head
What more can I tell you? I sleep with life and death in the same bed
Get lost, madame, get up off my knee
Keep your mouth away from me
I'll keep the path open, the path in my mind
I’ll see to it that there's no love left behind
I'll play Beethoven's sonatas, and Chopin’s preludes
I contain multitudes
Maintenant, il pleut à seaux. Je vois des éclairs. Je vais fermer la fenêtre et écouter de la musique. Je pense à toi.
David Hockney, «No. 133», 22 mars 2020, dessin sur iPad.

Christophe est mort. Vive Christohe ! Mon tribut.

Le chanteur Christophe est mort. Je l'aime profondément. Je pourrais raconter par le menu comment j'ai cheminé en sa compagnie, comment je lui suis tombé dessus de nombreuses fois au cours de ma vie dans des instants gracieux, de ma prime jeunesse au dernier film de Bruno Dumont. J'en aurais pour des heures.
Je lui ai parlé une fois. Je lui ai dit des choses qui m'importaient et il était d'accord avec moi, avec ses propres nuances. Il était petit et beau. C'était une vrai séducteur, un vrai crooner, " un bluesman qui ne chantait pas de Blues ", comme il aimait à se définir.
Pour moi, c'est du Rock. A 200 %. A fond.
Ce que je veux dire justement, c'est ça, parce que moi, j'ai été élevé par le Rock n' Roll, comme Christophe, comme tant d'autres et j'en ai besoin, un besoin vital. Je veux dire qu'il avait une façon bien particulière, inimitable, unique de me faire tripper complètement, de me faire vivre ses chansons de Rock complet, de Rock total, en profondeur et par le menu. J'ai frissonné, je me suis fait mon cinéma sur tous ses titres. Ah, écoutez, c'est simple et compliqué: j'ai décollé, et je décolle, à chaque fois, encore et encore parce que c'est, comme il le disait lui-même, "Méchamment Rock n' Roll"; c'est pour moi, c'est lui, c'est pour nous. Son timbre de voix si particulier d'oiseau libre en même temps qu'apprivoisé, ses paroles chiadées et roucoulées, ses arrangements si sophistiqués m'ont emmené en voyage, sans drogue, loin, loin, loin très loin, dans des espaces-temps qui n'appartiennent qu'à nous deux.
Je lui suis redevable de ses émotions intenses, qui me hantent, me nourrissent et m'habitent comme des fantômes bienveillants et peu regardants, sauf sur la qualité irréprochable des boissons et la couleur de la pochette. Mais... c'est déjà un trip.....Ah, voilà que ça recommence...
Ma dette est immense. Mais ses chansons me rappellent encore sa présence sereine et tourmentée, familière, presque amicale. Je paierai cette dette dans la joie en écoutant Christophe encore et toujours et en vivant, en revivant dans ma chair, comme un vrai FOU, ces délires de Rock qu'il m'offre, de ro-coeur à ro-coeur, lui en chef d'orchestre, moi en danseuse docile et étoile dans un ciel bleu nuit qui s'étend sur nos vestiges, bientôt ruines et nos vertiges, immortels, qui s'enfuient jusqu'au-delà de l'horizon dans l'espace infini.
Christophe : "Goodbye je reveindrai". Pas cette fois Daniel, pas cette fois.

Christophe : "Rock Monsieur". Si ça c'est pas de la bonne musique, qu'est ce que c'est, merde???

Christophe : "Les mots bleus".

Christophe : "Tangerine" en duo avec Alan Vega.

mercredi 15 avril 2020

Nous tenons, nous tenons, grâce à notre coeur et à notre âme, espèce de fumier de Macron.

Pas de tristesse en vue ? Pas de désespoir ? Ni de mélancolie ? Pas de symptômes de Covid 19 ? Alors pour continuer sur ce bel élan, trois confiseries pour confinés, trois rafraîchissements pour votre coeur de rocker qui bat régulièrement dans votre poitrine, comme le mien suit son chemin, et qui pendant le temps des concerts ci-dessous partageront un sentier commun. Pisse and Love, surtout avec Yukimi. (Et en passant, un petit tribut à John Prine, mort récemment du Covid).



dimanche 12 avril 2020

La Soul mise en échec ? Hallelujah, le Seigneur appellé en renfort !!!

- Oncle Rock ! Oncle Rock !
- Oui, mes neveux.
- Pourquoi t'es au lit ?
- J'suis malade. J'ai le Covid 19. N'approchez pas !
- Et la grosse dame noire avec toi dans le lit, elle est malade aussi ?
-....Euh, oui, sûrement....enfin, j'espère...bon, qu'est ce que vous voulez ?
- C'est à propos de Robert Palmer et de la Soul Blanche... quel mic-mac !
- Mais non, c'est simple. Tenez. A la base, la Soul c'est noir, avec un peu de blanc pour faire le liant. Puis sont arrivés des blancs plus souls que des nègres, euh, des noirs, et qui ont chanté de la Soul blanche avec un peu de noir pour faire le liant. De toute façon, c'est Kasher, Hallal, café au lait comme il faut et tout ce que vous voulez. En fait y'a un distinguo mais minime....
- Ah oui lequel ?
- La taille du larfeuille du producteur blanc dans lequel tombent les sous à la fin.... Il est plus gros quand c'est les blancs qui chantent..
- (La grosse dame noire) Exploiteur !
- Barrez-vous les kids. Faut que j'explique à la Noireaude comment qu'on traie les vaches dans ma Sarthe natale !  Viens par là, toi, on passe au Covid 21
- (La grosse dame noire) Ouhh ouh ouh Yeeeaaah !!!
- (Les neveux) "I'm a soulman...."

Robert Palmer reprenant une scie de la chanteuse black Cherelle et faisant swinguer tout ça comme un as, dans un des clips à mannequin qui ont assuré sa gloire.

Robert Palmer avec les frères Taylor de Duran Duran et le batteur de Chic. Ca bastonne sévère.
"Some like it hot" Dans le clip, un des premiers mannequins transgenres de l'histoire.

Robert Palmer live en 1997 interprétant le tube qu'il l'a imposé au monde entier, tiré de l'album "Riptide". C'est excellent, un sacré mélange coloré de zicos assure le groove et lui, de sa voix parfaitement chaude et classe (du vrai Sam Cooke), emballe le tout.: "Addicted to love" (même les Sonic Youth l'ont repris, c'est dire...)


jeudi 9 avril 2020

Les meilleurs fruits confits pour les confinés.

Des bonbons, des friandises, des fruits confits pour le confinement.
Là, il y a trois blancs qui chantent la musique noire comme personne. Tant et si bien que deux d'entre eux ont fait un miracle : ressusciter les Temptations, les vrais, avec Ruffin et Kendricks. Pour les gourmands et gourmets.
D'abord, Robert Palmer à l'âge de la S.F. informatique.

Hall, Oates, Ruffin, Kendricks. Magique. La chanson est de Hall.

mardi 7 avril 2020

Paul Weller, Bob Mould : The Right Stuff

S'il y a bien des hommes que j'apprécie dans le Rock ce sont eux. Ils sont maintenant des hommes accomplis et il serait peut-être temps d'écouter ce qu'ils ont dit et disent encore, avec attention et soin.
Paul Weller et Bob Mould.