mardi 17 mars 2020

En Chine ça bande mou et c'est dur pour tout le monde.

Les Chinois sont un peuple très raffiné et de haute culture. Éliminer 50 ou 100 millions de personnes pour des raisons idéologiques fumeuses et funestes ou le bon vouloir de l'Empereur, dieu vivant barricadé dans sa Cité Interdite n'a jamais été un problème pour eux. Leur philosophie et leur médecine ancestrales sont de vastes blagues qui reposent sur des concepts aussi erronés que la Terre carrée, les cinq éléments (pourquoi pas trois ou huit ???) ou les six énergies climatiques (on pourrait presque dire que la psychanalyse est plus sérieuse: c'est du même tonneau; si on y croit, ça marche)....En fait tout ce qui intéresse la plupart des Chinois c'est faire du business. Avant d'entreprendre des actions dans ce sens ils consultent l'oracle du Yi-king, autre fameuse fumisterie, très jolie poétiquement mais aussi scientifique et surannée que l'Horoscope chez nous. En plus de tout ça il est important pour les mâles chinois de bander, préoccupation qu'ils partagent avec l'ensemble des mâles humains sur cette planète. Sauf que leur haute culture  et leur médecine millénaire leurs prescrivent, pour avoir de bonnes érections, des décoctions de poudre de cornes de rhinocéros, de bites de tigre et d'écailles de pangolins. Résultat, les chinois commanditent de par le monde à des salopards de la mêmes eau qu'eux l'extinction d'espèces hautement vulnérables, en voie de disparition et protégées par des gens à peu près sensés. Le Viagra n'y a rien fait, la modernité a eu beau passer par là, rien ne vaut les écailles de pangolin pour bander....Autre résultat corollaire : une bonne partie de la population mondiale va y passer....Tout ça grâce à la très haute et très belle culture chinoise. Il serait temps de leur expliquer deux ou trois choses sur la Vie et comment elle va à ces putain de Chinois. Mais il est trop tard et on craindrait trop de vexer ce géant économique dont la puissance sur ce terrain semble excuser et justifier toutes les horreurs possibles et imaginables. Je vais vous dire un truc, contrairement aux Japonais et aux Coréens que j'estime beaucoup, je n'ai jamais aimé la Chine, ni les Chinois, pas plus que les Indiens, soit dit en passant. Je n'ai jamais aimé leur bouffe, que l'on compare indûment à la gastronomie française, leurs arts martiaux (les mecs qui marchent sur les murs, ça va cinq minutes), leur cinéma (Bruce Lee, franchement, c'est pour les débiles), leur politique délirante, leur goût incroyable pour l'argent et leur mépris pour les autres cultures. A la base, les Chinois et les chinoiseries m'agacent. Et maintenant il chient sur le monde entier avec le coronavirus, prêts qu'ils sont à sacrifier des millions de personnes pour bien bander,  à l'ancienne. Il faudra s'en rappeler un jour, je ne sais pas quand, mais il faudra faire cet effort de mémoire, avant d'esquisser toute tentative de rachat ou de pardon. Pour l'instant, ils m'ont un peu venère, les célestes.(Lisez Lucien Bodard. Sur la Chine, c'est éclairant)
En attendant....Rock n' Roll !
Mudhoney : "Touch me i'm sick."

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