mardi 6 août 2019

Subir. Tenir. Pas le choix.

Il y a ces deux chansons de The war on drugs, très belles, lyriques. Il n'ont rien perdu à laisser partir le slacker Kurt Vile.
Alors je fais comme il est dit dans la première, je m'accroche, je tiens bon. C'est dur. Le clip est superbe.
The war on drugs :"Holding on".

Et il y a la souffrance, omniprésente. Mais ce n'est rien à coté de la connerie qui triomphe partout comme un souverain absolu, même en moi. C'est encore ça le plus exténuant.
The war on drugs : "Pain". Quelque part Paul Weller parle de "the next generation of emotionally crippled." Depuis un temps que je ne saurais mesurer c'est comme ça, on produit ça, on va d'echec en échec. On a rien réussi de bon au vingtième siècle à part les trois jours de paix, d'amour et de musique de Woodstock. C'est chiche

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