mardi 6 janvier 2009

Flaubert.... Flaubert....
Encore un qui aurait mieux fait de se taire. A force de faire le relevé géométrique de l'humaine bêtise il a fini par s'en faire le poussif Homais, mi-Pécuchet mi-Bouvard. L'ermite de Croisset croassait au gueuloir pour savoir si la rime tombait juste à l'infini. Pas peintre pour deux sous, encore moins musicien, danseur peut-être, mais depuis Céline on sait ce qu'il en est des danseurs en littérature, leur grâce est celle des marcheurs au pas. Enfin, il écrivait ,parait-il, et prenait ça très au sérieux.Sa palette noir de suie me fait suer. Que d'efforts, en vain! Et ses galipettes, ses galipettes ! Son voyage en Orient n'a rien du arranger ! "E dolce far niente", voyez-vous, quand on est entiché de sa machine-outil, ça ne dit rien. Glapisseur, aboyeur, pisse-copie : silence !Charles Cros a quelque chose à dire. Ouverture du "Coffret de Santal".... en mineur. LE PERE DE MARC EDOUARD NABE LE NOUVEAU CELINE. QUELLE RIGOLADE !

Aucun commentaire: