Il y a-t-il vraiment tant de différence que ça entre le lyrisme du morceau des Death Cab For Cutie de Ben Gibbard qui finit leurs concerts sur une note lancinante et amoureuse et celui du très beau morceau post-moderne de Jon Hopkins qui dit tristement que "everything must end" ? On pourrait dire que non, pas tant que ça, la beauté est là. En fait il y a un monde entier qui les sépare, ces chansons. Un qui disparaît, qui est déjà mort et l'autre qui advient, qui arrive, qui "profite" de la mort du premier
Allons, allons, c'est bien grave tout ça. Pas tant que ça, ça arrive, les mondes qui s'écroulent. Comme je l'ai dit la beauté est là, différente et néanmoins nécessaire.
Death Cab for Cutie : "Transatlanticism"
Jon Hopkins : "Open eye signal" (Vidéo superbe)
Allons, allons, c'est bien grave tout ça. Pas tant que ça, ça arrive, les mondes qui s'écroulent. Comme je l'ai dit la beauté est là, différente et néanmoins nécessaire.
Death Cab for Cutie : "Transatlanticism"
Jon Hopkins : "Open eye signal" (Vidéo superbe)
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