On se demande si c'est du lard ou du cochon, de l'Art ou du boudin, quelque chose qui serait la trace de l'écume d'une époque, celle de la grande libération des moeurs et d'un trouble psychique collectif de permissivité abusive. En tout cas, les photos d'Irina Ionesco qui "marchent" (les autres c'est juste un cirque gothique kitschouille) sont celles où elle envoie sa fille au charbon, à la fois pleine d'envie et de haine, infligeant de son égo blessé de marâtre des blessures irréparables à la petite puis jeune fille. Ne pouvait naître de cet exhibition voulue de la fille par la mère qu'un duel à mort qui se règle comme il peut devant les tribunaux. La Loi, n'était pas là pour protéger la jeune Eva, Irina paye maintenant un peu. Les photos sont là, chargées, illicites, violemment érotiques, sublimes, misérables. Si Eva Ionesco me le demande, j'enlèverais cet article de mon blog. Dans l'état actuel des choses, j'y adjoint les photos
J'enlève les photos. Y'a des malades en ce bas-monde.
Eva Ionesco de nos jours, blessée, superbe. Elle doit tout à sa mère. On doit tous tout à notre mère. Surtout le pire.
J'enlève les photos. Y'a des malades en ce bas-monde.
Eva Ionesco de nos jours, blessée, superbe. Elle doit tout à sa mère. On doit tous tout à notre mère. Surtout le pire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire