Depardieu (Gérard) vient, parait-il, d'appeler Tintin : "un petit fouille merde". C'est ce qu'il pense des enfants. Car Tintin est un enfant. L'histoire de l'ogre qui mange ses enfants est, elle aussi, vieille comme le Monde. Quand la jouissance paternelle ne connait pas d'obstacle, les enfants deviennent tout naturellement des objets de choix pour son plaisir. Depardieu (le père) n'a jamais eu le moindre soupçon d'intelligence ou de sensibilité, ce qui le gouverne c'est sa soif inextinguible de jouissance, un appétit hors-norme qui fait de tout et de tous l'objet de son plaisir. Le rôle de Raspoutine lui va assez bien. Peut-être l'a t-il moins massacré que ceux de Monte-Christo ou du Grand Honoré de Balzac, qui, vraiment, ne méritaient pas un pareil traitement.
J'aimais bien Guillaume Depardieu (le fils) mais son père l'a mangé, toute "merde" qu'il était, car Depardieu (Gérard-Le père) en est justement encore là, au stade de "mange-merde". Et ça commence à se voir un peu, beaucoup. Jugez vous-même.
Pas par le nez Gérard, pas par le nez !
Désolé, Mesdames, voilà ce qu'est votre sex-symbol devenu. Quoi ? Excitant ! Bon sang, pourquoi faut-il toujours être pire que vous pour vous faire jouir ?
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