vendredi 9 juillet 2010

AN ENGLISHMAN IN THE HOUSE

Hugh Laurie à l'époque où il faisait ses classes avec Stephen Fry sur la B.B.C en train de se foutre de l'Amérique qui, plus tard, lui a apporté la gloire. Méritée. Sans lui pas de "Dr house". C'est comme "New-York, Unité Spéciale". Les épisodes sans Vincent D'Onofrio n'ont pas grand intérêt. C'est ça le secret d'une série, un acteur ou des acteurs caractérisant à merveille un ou des personnages. Ainsi, les meilleurs saisons de " Mission Impossible" sont celles regroupant Peter Graves, Barbara Bain, Martin Landau, Fred Lupus et Greg Morris. Les autres sont moins bonnes, et de loin. De même " The Avengers" c'est Patrick Mac Nee et Diana Rigg" et "Clair de Lune" c'est Bruce Willis et Cybill Sheperd. Après, les scénarios n'ont pas grande importance. Des spécialistes s'en occupent, rompus à tous les trucs, à toutes les astuces de la dramaturgie. Pareil pour les metteurs en scène. Ce qui compte vraiment, c'est un producteur qui trouve un acteur ou une actrice et le (la) met à la bonne place.

Un autre musicien mais, lui, idéal dans tous les rôles. Même dans "Clair de lune" : David Oistrakh.

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