Lamont Dozier est mort.
Que dire ? Qu'il faut oublier vite-fait Olivia Newton-John et ses chansons idiotes et kitschs qui ne m'ont jamais arraché qu'un ennui assez étonné par l'ampleur de leur audience. Répéter à satiété qu'il a été, avec les frangins Holland, l'un des plus gros pourvoyeurs de hits pour la Tamla Motown à une époque un peu bizarre où les numéros unos des Charts étaient parfois (souvent) des chefs-d’œuvre. Dire encore qu'il a sorti dans les années 70 des albums essentiels à tout amateur de Soul un rien charpenté, dont un qui s'appelait "Black Bach" et que tous les albums de classique enregistrés de nos jours par des petits blancs bien propres sur eux devraient s'appeler "White Dozier" (à qui ça poserait un problème ? Les cons sectaires ? Basta ! Ca serait la classe !) Redire à tous que ce type a composé et gravé, comme auteur-producteur-chanteur, parmi les plus belles chansons d'amour de tous les temps et lui savoir gré de ça, finir par l'écouter encore et encore, lui et ses interprètes gracieux, dont la liste est une litanie de saints rocks. Hosannah au plus haut des cieux, frères ! I believe in Rock n'Roll ! Let's hear that good, good stuff !
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