Des fois, ça arrive. C'est pénible, super pénible. L'amour, c'est pas toujours de la tarte. Dans le clip on voit des images de Presley. Sa beauté, son sex-appeal sont frappants. On se dit, de toute façon, toutes les filles sont pour lui. Ça contraste gentiment avec la chanson. Ah, ah, ah, ah, ah.... font les Jordanaires...
lundi 30 décembre 2013
Choisissez le sexe de votre enfant.
Tu vois, il y a ça : "My old flame", ça dit que rien n'a de valeur à coté de cet amour ancien qui a tout cramé ; que c'est du pipeau, de la gnognotte, ce qui arrive maintenant, à coté de la source, de l'incendie originel. Ce n'est chanté que par des femmes ce truc, de Mae West, à Billie Holiday. Pourtant, je connais cette impression. Alors, je suis une femme.
Peggy Lee.
My old flame
I can't even think of his name
But it's funny now and then
How my thoughts go flashing back again
To my old flame
My old flame
My new lovers all seem so tame
For I haven't met a gent
So innocent or elegant
As my old flame
I've met so many men
With fascinating ways
A fascinating gaze in their eyes
Som who sent me up to the skies
But their attempts at love
Were only imitations of
My old flame
I can't even think of his name
But I'll never be the same
Untill I discover what became
Of my old flame
I've met so many men
With fascinating ways
A fascinating gaze in their eyes
Som who sent me up to the skies
But their attempts at love
Were only imitations of
My old flame
I can't even think of his name
But I'll never be the same
Untill I discover what became
Of my old flame
Et puis il y a ça :" Next girl", ça me plaît bien. Pourquoi se faire du mouron ? Les femmes, c'est pas ça qui manque. Alors, la suivante, je vais me la soigner. Lubricité, second degré, et du doigté, surtout du doigté. Allez, Bébé, viens par là. Jusqu'à la prochaine station de métro au moins. Voilà, t'es pas bien là, hein ? C'est joué et chanté par deux mecs. Alors, je suis un mec.
The Black Keys
Peggy Lee.
My old flame
I can't even think of his name
But it's funny now and then
How my thoughts go flashing back again
To my old flame
My old flame
My new lovers all seem so tame
For I haven't met a gent
So innocent or elegant
As my old flame
I've met so many men
With fascinating ways
A fascinating gaze in their eyes
Som who sent me up to the skies
But their attempts at love
Were only imitations of
My old flame
I can't even think of his name
But I'll never be the same
Untill I discover what became
Of my old flame
I've met so many men
With fascinating ways
A fascinating gaze in their eyes
Som who sent me up to the skies
But their attempts at love
Were only imitations of
My old flame
I can't even think of his name
But I'll never be the same
Untill I discover what became
Of my old flame
Et puis il y a ça :" Next girl", ça me plaît bien. Pourquoi se faire du mouron ? Les femmes, c'est pas ça qui manque. Alors, la suivante, je vais me la soigner. Lubricité, second degré, et du doigté, surtout du doigté. Allez, Bébé, viens par là. Jusqu'à la prochaine station de métro au moins. Voilà, t'es pas bien là, hein ? C'est joué et chanté par deux mecs. Alors, je suis un mec.
The Black Keys
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The Black Kays
dimanche 29 décembre 2013
Michael was right under the Rainbow. Just where he belonged.
Damned Michael, Diana and Quincy at the top. Brillant !
Encore un Lumet moyen.
Encore un Lumet moyen.
vendredi 27 décembre 2013
Time will wait. This time.
La plupart des trucs que me fait écouter mon petit frère, j'aime pas. C'est pas mauvais (j'en sais foutrement rien en fait !), je suis simplement trop vieux pour capter je crois. Mais ça, ça c'est bon. Aucun doute, je le sens. Je suis content. Je remue la queue, comme un vieux chien de chasse qui retrouverait ses réflexes sur des traces toutes fraîches. Houndog barking.
mercredi 25 décembre 2013
A taste of 1924
Hier soir, pendant le repas de Noël et entre divers alcools plus ou moins forts, j'ai pu boire un peu d'une goutte millésimée 1924. Bientôt centenaire. et très très virile. Comme me l'a fait remarquer mon hôte : "La polonaise qui en boit au petit déjeuner, elle tousse un peu quand même.". Moi, j'ai fait diverses grimaces à chaque goulée, pour aider à la faire passer. C'était tout à fait fameux.
Les années 20 sont d'une richesse artistique confondantes, l'élan de l'immédiat après-guerre était invraisemblable : Jazz, Surréalisme, Expressionnisme, Dada, Dodécaphonisme, Bauhaus, brillante Littérature européenne et américaine. L'envie était démesurée souvent, la vie parfois. Néanmoins, pour moi, 1924 c'est d'abord ça :
Oui, l’École.
Les années 20 sont d'une richesse artistique confondantes, l'élan de l'immédiat après-guerre était invraisemblable : Jazz, Surréalisme, Expressionnisme, Dada, Dodécaphonisme, Bauhaus, brillante Littérature européenne et américaine. L'envie était démesurée souvent, la vie parfois. Néanmoins, pour moi, 1924 c'est d'abord ça :
Oui, l’École.
Holy Night.
A cette heure là, les oiseaux commencent à chanter. C'est chiant, je ne suis plus seul, seul à dessaouler devant l'écran de mon PC, bien neutre, servile à souhait, qui se prête sans broncher à toutes mes folies solitaires. Je vais perdre un peu de mes moyens. J'aime les oiseaux, comme Saint François d'Assise, comme Olivier Messiaen. Mais pas maintenant, pas là. Là, c'est ma nuit, ma douceur, ma tendresse et toutes les violences possibles. C'est un tableau de marche vierge pour mon ciel charbonneux. Une protestation muette, enfouie dans le noir, révélée par l'ampoule (que personne ne voit). C'est là que je suis. Que je fais des signes incompréhensibles, de loin, bien content de mon tour de vache. Eh, eh, je ne vous parle pas, même si je désespère d'être aussi une cause. J'ai l'imagination fertile pour ça et tout ce qui vous arrivera sera pourtant sans raison, sauf le salut de la mienne, déjà chavirée. S.O.S. S.O.S. Ne venez pas troubler ma quiétude inquiète, si vous me tendez la main, je me couperais le bras. Dans cette nuit que je possède comme on possède une femme, rien ne peut m'atteindre, rien ne changera jamais. Il faut que je veille au grain, chaque nuit que Dieu fait, que je fais, c'est ma seule et invisible hardiesse, c'est ma grande faiblesse, ma torpeur qui vient et dont j'attends qu'elle me cueille au matin, quand les yeux des autres s'ouvrent sur des miracles qui me tueraient au premier effet. Ah, Je me démène, je fais tout mon possible et j'y arrive ! Je suis rattaché au reste du monde comme une presqu'île à la terre. Une lande vierge, juste quelques genêts, le regard en dedans, à l'abri des rades et la côte sauvage plus dangereuse que tous les pilleurs d'épaves. Je m'attache encore, à l'ordinateur, blême si obéissant, idiot. Je suis odieusement conforté dans ma lutte. J'ai fais taire les oiseaux, par un tour mystérieux. Un jour, je dis bien, un jour, ils triompheront de moi, d'une pichenette sonore. D'ici-là, la nuit, je me moque d'eux, de vous, de toi et j'attends qu'il soit trop tard pour chanter. Chanter mon bonheur.
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L'élan créateur est pour demain.
J'ai entendu l'autre jour à la radio un psychiatre ou un psychologue affirmer que l'état dépressif n'avait rien d'anormal et même qu'il était annonciateur de l'acte créateur. Oh la la, les amis, je vous raconte pas ce que je vais vous pondre ! Ça va être dément, les mecs, une véritable Chapelle Sixtine du blog, un Codex total digne de Léonard en 80 000 posts où j'aurais TOUT mis, vous m'entendez, TOUT, et même le reste. Une Bible, un Talmud, Le Coran, la Recherche du Temps Perdu du petit Marcel, l'équivalent de l'oeuvre entière de Jean-luc Goldman (ça commence à bien faire Jean-Jacques, hein ?), tout ça en des pages subtiles et raffinées à l'extrême. Du concentré de Génie, le vrai truc, du pur porc. Enterrés Spinoza, Homère, Cervantes et Shakespeare. Dézingués Patrick Topaloff et Jean Roucas.....J'arrête, là, je ne voudrais pas pérorer par avance sur ce qui va ADVENIR, que rien ne peut empêcher d'arriver et ce qui changera la face de notre planète. Bon, en attendant, je vais prendre mes deux Prozac, un grog et je vais me coucher, je commencerai demain, hein ?. Je vous donnerai régulièrement des nouvelles de ce Grand Oeuvre en marche. N'hésitez pas à me demander si j'oublie, je suis si négligent des fois. Bon, allez, à plus dans le bus et à bientôt en bateau. Ça va être énorme. Purée, j'ai envie de dormir, moi. Énorme. Bonne nuit.
J'avais pensé illustrer ce post par l'intégrale des quatuors a cordes de Beethoven, un truc consistant, quoi. Mais, je sais rester modeste, en dépit du destin grandiose qui m'attend. Un peu de rire de bon goût ne peut pas nuire. Allez, soyons fous : Odeurs.
J'avais pensé illustrer ce post par l'intégrale des quatuors a cordes de Beethoven, un truc consistant, quoi. Mais, je sais rester modeste, en dépit du destin grandiose qui m'attend. Un peu de rire de bon goût ne peut pas nuire. Allez, soyons fous : Odeurs.
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vendredi 20 décembre 2013
Dans la tête de Sigmund et Lucian
Grâce à un outil statistique de Google, je peux savoir ce qui a été tapé dans le moteur de recherche pour qu'une personne tombe sur mon blog (je ne peux pas encore savoir QUELLE personne, mais c'est parce que je ne sais pas paramétrer le bousin et que je m'en fous). Par exemple, là on a tapé "freud, femme nue" pour arriver chez moi. Or, je ne vois qu'un seule chose correspondant à cette requête, c'est un portrait de femme signé Lucian Freud que j'ai posté il y a assez longtemps. Mais en fait, cette recherche peut amener à une autre image, en l’occurrence un dessin assez fameux dont j'ignore l'auteur et qui était peut-être la chose voulue par nos (ils sont 2) internautes anonymes. Comme je suis de bonne composition, moi, l'inverse d'un peine-à-jouir, alors je vais mettre le dessin de Sigmund et une toile de son neveu Lucian. Ca ne change rien à rien, sauf si le surfeur curieux s'avise de regarder l'ensemble de ma page. Fumeux ? Bien possible...
Ron Burgundy is on the loose again.
Je n'aime plus le cinéma. Ça tombe bien, il n'existe plus. A sa place, il y a un business qui vend des shoots d'images qui bougent à tous les agités de la persistance rétinienne. Dans ce registre s'annonce une séquence d'environ 1h45 minutes particulièrement rigolote et débile. Notons, au passage, l'identification du "comique" et du "débile" dans cette nouvelle façon d'aligner les images animées. Alors là, ça s'appelle" "Anchorman 2, the Legend continues", soit, en français "Légendes Vivantes", et c'est avec Will Ferrell et toutes la bande habituelle des productions de Judd Apatow, le nouveau Mogul de la "Comédie" américaine. Ca n'a plus grand-chose à voir avec les délices raffinés de "I was a male war bride" de Hawks, "Adam's rib" de Cukor, "Notre homme Godffrey" de Grégory la Cava où "Les voyages de Sullivan" de Preston Sturges. Ca n'a même rien à voir avec ces "films", rien du tout. N'empêche, je n'avais pas vu une bande annonce aussi drôle, depuis celle de "Dumb & Dumber" Le pitch ? Ouais. L'équipe des quatre gaillards du journal télé de la soirée de San Diego en 1979 est de retour au début des Eighties pour lancer Global News Network, parodie de CNN. Ce film sort pour les fêtes de Noêl aux Etats-Unis et arrivera sur nos écrans en juin. Il a été précédé d'une petite "mise en condition" du public assez inédite puisque les Américains ont pu voir Will Ferrell jouant son rôle de Ron Burgondy, le "Anchorman" imbu de lui-même à l'infini+ 1 sur tout les plateaux de talk-shows et autres journaux télévisés possibles. IL a ainsi aligné les conneries sans sourciller, affublé d'un sérieux sans faille et d'une coupe de cheveux en tungstène, sans parler de sa moustache qui fait de lui, somme toute, un homme assez inquiétant.
La bande-annonce que je vous propose est en anglais. C'est plus compliqué, je l'accorde volontiers, mais elle est bourrée de petites idiosyncrasies étatsuniennes qu'il est bon de saisir. J'insiste sur l'utilisation optimale d'un morceau pseudo-épique de Van Halen qui trouve là sa place définitive et impayable :"Dance the night away". Préparez-vous, mortels, il va falloir tâcher de survivre à un déferlement de bêtise hilarante comme rarement subi !
Messieurs Will Ferrell, Paul Rudd, Steve Carell, David Koechner dans : "Anchorman 2, the Legend continues"
Je n'ai jamais dit que ça allait être facile !
En bonus, Ron Burgundy ravage l'Australie et vampirise l'antenne de "The Project", un talk-show local, très populaire. J'aimerais bien le voir interviewer Vladimir Poutine, par exemple. " Good Evening, I'm Ron Burgundy. Here what's going on in your world tonight." Dit par Lui, ça fait tout de suite peur.
La bande-annonce que je vous propose est en anglais. C'est plus compliqué, je l'accorde volontiers, mais elle est bourrée de petites idiosyncrasies étatsuniennes qu'il est bon de saisir. J'insiste sur l'utilisation optimale d'un morceau pseudo-épique de Van Halen qui trouve là sa place définitive et impayable :"Dance the night away". Préparez-vous, mortels, il va falloir tâcher de survivre à un déferlement de bêtise hilarante comme rarement subi !
Messieurs Will Ferrell, Paul Rudd, Steve Carell, David Koechner dans : "Anchorman 2, the Legend continues"
Je n'ai jamais dit que ça allait être facile !
En bonus, Ron Burgundy ravage l'Australie et vampirise l'antenne de "The Project", un talk-show local, très populaire. J'aimerais bien le voir interviewer Vladimir Poutine, par exemple. " Good Evening, I'm Ron Burgundy. Here what's going on in your world tonight." Dit par Lui, ça fait tout de suite peur.
mercredi 11 décembre 2013
"Foulquier ? Qu'est ce qu'il a pu me faire chier !" Dédé, du Bar des Sports.
Pour certain, c'était Jean-Louis. Pour nous, au "Bar des Sports", c'était tout simplement Jeannot. Au poste dès huit heures pour un premier gorgeon, y débandait pas jusqu'à la fermeture. C'est sûr, il était pas toujours facile. Des fois il avait le vin mauvais. Il saquait pas les étrangers. Son truc à lui, c'était la casquette, pas le voile, la casquette. Quand il pouvait un choper un sans casquette, qu'est ce qu'il prenait le mec ! (Généralement un côte, comme tout le monde.) La fois suivante, le gars avait sa gapette. Il avait compris. Ah, on peut dire qu'il a beaucoup fait pour l'assimimilation, Jeannot. Évidemment, on a dit des choses, comme tout le temps dans les p'tits patelins, qu'il avait travaillé sur une radio d'Etat y'a longtemps, m'enfin, avec nous il écoutait Coach Courbis et Riolo sur R.M.C., comme tout un chacun. Je l'entends encore qui me disait "Y-z-iront pas au Brésil, ces branques, y-zont pas la casquette." Bon, là, il avait faux, mais souvent ça tombait juste. Rien qu'avant-hier, y disait à qui voulait bien l'entendre "Dans quinze jours c'est Noël.". Il était casse-couilles mais y'avait du vrai là-dedans.
Allez, je mets deux photos de Jeannot en ligne. Votez pour celle que vous aimez le plus et je la fais encadrer. Elle fera bien juste à coté du Muscadet, derrière le bar. Allez, à ta santé, l'artiste !
Allez, je mets deux photos de Jeannot en ligne. Votez pour celle que vous aimez le plus et je la fais encadrer. Elle fera bien juste à coté du Muscadet, derrière le bar. Allez, à ta santé, l'artiste !
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Lou Reed est-il mort ?
C'est bizarre quand même, Lou Reed est mort il y a un mois et il fait encore de la pub pour un équipement Haute-Fidélité. Voyez ci-dessous.
Je vais lui filer un coup de pieu dans le coeur à cette vieille vache, histoire qu'il vienne plus nous casser les couilles avec des sentences du genre" My life is music"
Déjà, prends ça dans ta face, Lou, ça va te calmer un peu.
Je te conseille d'écouter ça au casque, bien fort, poète de la marginalité de mes deux.
Je vais lui filer un coup de pieu dans le coeur à cette vieille vache, histoire qu'il vienne plus nous casser les couilles avec des sentences du genre" My life is music"
Déjà, prends ça dans ta face, Lou, ça va te calmer un peu.
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mardi 10 décembre 2013
L'Amour à Marche ou Crève.
Cette chanson, je l'ai d'abord rêvée. Et un jour, paf ! je l'ai entendue. Ça m'a fait un choc. Y'avait tout : la choriste noire qui crie son mal d'amour, le guitariste blanc cocaïné à mort qui balance son riff funky pour la 350 ième fois de la nuit "Une dernière coco, pour la route", et Boule Noire, concentré d'Amour enfiévré qui tance sa mousmé à coup de canne et la charme sans lui laisser une chance "...comme MOI je t'aime...". La pauvrette y passera, y'a pas et tout le monde est à la limite de perdre la raison. C'est un pandemonium sentimental, une apocalypse d'Amour selon Saint-Funk, et personne n'allait en sortir indemne. J'aime vivre dangereusement, quand j'écoute ce truc-là, je suis à poil et sans défense, à bout de souffle. Seule une rose rouge peut me sauver la mise. Elle a une odeur musquée.
Boule Noire (de son vrai nom George Thurston) est mort en 2007 d'un cancer collorectal. Tu m'étonnes. Voilà t'y pas la profondeur du truc.
Version 1978.
Version 1990
Boule Noire (de son vrai nom George Thurston) est mort en 2007 d'un cancer collorectal. Tu m'étonnes. Voilà t'y pas la profondeur du truc.
Version 1978.
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God Bless Daryl Hall et ses petits gars.
Toujours en live de chez Daryl Hall, une version parfaite du tube de Gnarls Barkley " Crazy", avec le créateur Cee-Lo Green au chant en compagnie du désormais fameux Parrain de la Soul blanche en personne. Il est en sourdine, Hall, et en même temps, il prend une sacrée dimension ; c'est un paradoxe rendu possible par internet, le genre de petit miracle de coup d’œil imprenable sur la création d'artistes très divers qui n'aurait pas eu lieu sans lui. C'est aussi l'illustration parfaite que les artistes ont parfois une idée très claire de ce qu'ils peuvent montrer et de comment le faire. Tout n'est pas encore aux mains des services marketing de tous ordres. Tout n'est pas Daftpunkisé jusqu'au trognon.
Cee Lo - Daryl : "You really think you're in control..."
Daryl : "I really love that song."
Cee Lo - Daryl : "You really think you're in control..."
Daryl : "I really love that song."
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jeudi 5 décembre 2013
Mort de quelqu'un. Mais de qui ?
Il y a des morts qui... et d'autres qui... Par exemple Georges Lautner, oui, ben bof, en fait. Des films assez drôles, assez médiocres aussi, ou plutôt bons, au fond, on s'en fout, ça ou autre chose... Paul Walker, le bellâtre de la franchise "Fast and furious" au 2,5 milliards de gains cumulés. Bon, ben bof aussi, comment pourrais-je trouver le moindre angle d'attaque pour accrocher à ce truc ne serait-ce que cinq minutes ? Même au 18 ième degré c'est nul, " Vroum, Vroum" ; "Pan, Pan" ; "Lime, Lime" ou l'inverse. Ces films vous ôtent des neurones par paquets de mille. Presque aussi fort que le PMU.
Et puis Junior Murvin est décédé lui aussi. Ah oui, là, c'est un peu plus roboratif comme plat. "Police and thieves", c'était lui. Chanté haut perché en 1976, repris par les Clash dans la foulée, imparable, inoxydable. On va l'écouter, hein ? Une chanson, une bonne chanson ça vaut des centaines de films, et même si vous mettez des chefs-d'oeuvres dans ce fléau-là, la balance penchera toujours du coté de la chanson.
Je viens d'apprendre la mort de Nelson Mandela. Là, c'est carrément une secousse tellurique. Cet homme était à la dimension du Monde. Comment a-t-il fait ? Mystère. Quand je pense à ce con d'Eastwood, qui a eu le culot, d'où il est cet enfoiré de fasciste, de rendre hommage à Mandela, avec son "Invictus" de merde. Restons sobre. "Mais où sont passées les gazelles ?" se demandait Lizzy Mercier Descloux en plein apartheid.
"Police and thieves in the street, ooh yeah
Fighting the nation with their guns and ammunitions
Police and thieves in the streets, ooh yeah
Scaring the nation with their guns and ammunitions" clamait Junior Murvin
Et puis Junior Murvin est décédé lui aussi. Ah oui, là, c'est un peu plus roboratif comme plat. "Police and thieves", c'était lui. Chanté haut perché en 1976, repris par les Clash dans la foulée, imparable, inoxydable. On va l'écouter, hein ? Une chanson, une bonne chanson ça vaut des centaines de films, et même si vous mettez des chefs-d'oeuvres dans ce fléau-là, la balance penchera toujours du coté de la chanson.
Je viens d'apprendre la mort de Nelson Mandela. Là, c'est carrément une secousse tellurique. Cet homme était à la dimension du Monde. Comment a-t-il fait ? Mystère. Quand je pense à ce con d'Eastwood, qui a eu le culot, d'où il est cet enfoiré de fasciste, de rendre hommage à Mandela, avec son "Invictus" de merde. Restons sobre. "Mais où sont passées les gazelles ?" se demandait Lizzy Mercier Descloux en plein apartheid.
"Police and thieves in the street, ooh yeah
Fighting the nation with their guns and ammunitions
Police and thieves in the streets, ooh yeah
Scaring the nation with their guns and ammunitions" clamait Junior Murvin
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