mardi 13 septembre 2011

J'aime un homme pourri. J'aime un monde pourri.

Quand mon réveil sonne ça donne exactement ce que vous trouverez ci-dessous. John Lydon, dit Johnny Rotten, mon ami, mon frère tu en sais plus sur la Vie, l'Amour les vaches et la façon de les traire que tous les philosophes et sociologues du monde. Et tu es particulièrement effrayant tant ta révolte et ta violence sont grandes. Mon ami ?, Mon frère ? Non, surement pas, espèce de petite gouape dépravée mais je t'aime quand même et je te crache affectueusement à la gueule.
Un ami cultivé me demandais jadis comment des choses d'une telle intelligence pouvaient sortir de la tête d'un anglais inculte et vindicatif. A la bête comme à l'homme l'instinct souverain suffit parfois

Les paroles
Hello. Hello. Hello. Hello. Hello. Hello.
Ha, Ha, Ha, Ha, Ha.
You never listen to word that I said
You only seen me
For the clothes that I wear
Or did the intrest go so much deeper
It must have been
The colour of my hair.

Public Image.

What you wanted was never made clear
Behind the image was ignorance and fear
You hide behind his public machine
Still follow the same old scheme.

Public Image.

Two sides to evrey story
Somebody had to stop me
I'm not the same as when I began
I will not be treated as property.

Public Image.

Two sides to evrey story
Somebody had to stop me
I'm not the same as when I began
It's not a game of Monopoly.

Public Image.

Public Image you got what you wanted
The Public Image belongs to me
It's my entrance
My own creation
My grand finale
My goodbye

Public Image.

Public Image.

Goodbye.
Pendant ce temps-là Bob Dylan plane comme un albatros au dessus de ces petites contingences. Ou plutôt il y nage avec assurance en pleine conscience et bonne santé. "Two side to every story ?" Ride on, cow-boy ! Ignore the ad !!!

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