mercredi 31 mars 2021

Stratégie Française certifée.

Pour lutter contre le (la) Covid 19, notre Président a choisi une tactique typiquement française qui a eu des effets remarquables tout au long de notre Histoire. Ainsi en 1940....mais voyez vous-mêmes, c'est assez clair.


lundi 29 mars 2021

Moi, j'aime les salopes. Surtout les femmes.

Non, toutes les femmes ne sont pas aussi salopes que les journalistes. (Les journalistes politiques, surtout...) Oh, elles le sont toutes un peu, à qui parlerait-on, nous les ordures ? Salope/ ordure, tout est beaucoup plus complexe. Tenez, j'ai fait un tour dans les arcanes de la chanson et du rock français et j'en ai ramené des gemmes qui complexifient le débat et rassurent sur l'humanité des femmes qui les ont serties de leurs voix diverses et de leur beauté variée. Le sujet-Femme est bien trop vaste pour tenir dans une tribune de journal ou une idéologie vengeresse. Voyons cela avec un peu de recul et d'aménité. Rien n'est sûr, tout est évident. Comme les blessures qu'inflige la vie.

samedi 13 mars 2021

Houellebecq, humain, trop humain ? Pas encore assez...

Non, Michel, tout n'est pas affaire de pourcentages qui induisent un taux de réussite et même de bonheur - et pourquoi pas d'âme ? - Les êtres humains ne sont pas du bétail, il ne sont pas"améliorables" ou jetables en fonction d'impératifs de production par de savants et ineptes calculs et proportions. Tu te leurres si tu crois ça; Qu'est ce qu'une vie humaine selon toi ? Un rapport à la norme, une sujétion à des déterminations, des calculs ? Pense un peu que pour certains d'entre nous, il n'est de vie possible que libres, libérés de ce qui entrave la justesse des gestes, des sentiments, des sensations les plus infimes Contrairement à ce que tu penses, à ce que beaucoup croient, le corps n'est pas un jouet, la chair n'est pas de la viande. En dessous ? Il y a toujours en dessous, comme il y a toujours au dessus. Ce qui importe vraiment, ce qui compte, c'est l'ajustement constant à la vie, à soi-même, l'équilibre sans cesse recherché et négocié entre les êtres à sang chaud et à peau sensible que nous sommes; Ce qui compte échappe aux lois des nombres, c'est la Liberté, à la fois donnée et méritée. Ce qui compte c'est le travail qu'on fait pour se dompter et s'émanciper dans le même temps, c'est beaucoup trop impondérable pour se calculer et le bénéfice net excède de loin toutes les perspectives de "profit". Il y a là, entre autres, la Beauté, que tu aimes.

 Michel, arrête de fumer, de te faire du mauvais sang, repose-toi et rêve. Cherche un peu, chasse tes mauvaises pensées Tu vois ce n'est pas si grave d'être un homme. Reviens maintenant et écris nous un beau roman

Voilà de la belle musique pour toi. Je t'aime bien.

Trop de Feeling tue le Feeling !

On est d'accord, le feeling c'est capital. C'est le vecteur le plus raide et efficace de l'émotion, la vraie, celle qui secoue la tête et les tripailles. Le morceau de Neil Young en est bardé, pour notre plus grand bonheur. Et le Jazz ? Sans feeling, c'est du Glenn Miller, autant dire nada. Ahmad Jamal le prouve encore en-dessous, lui que je considère comme un des trois ou quatre meilleurs improvisateurs du genre. Ceci étant dit Lenny Williams nous prouve avec sa chanson phare "Cause i love you" qu'il ne faut décidément abuser de rien, même pas du feeling. Trop c'est trop Lenny, remballe ta soupe et va la vendre à des coeurs de mégères trop apprivoisées. Il est immonde (et assez rigolo) ton ragoût. Être noir ne donne pas tous les droits, salopard.

Greatest Love song eva ! A qui tu veux faire avaler cette pilule, vieux, on est pas des bêtes quand même !

vendredi 5 mars 2021

Le Rock, l'étoffe dont ma vie est faite.

Comment je sais que je suis en vie ? J'écoute du Rock. J'écoute du Rock et mon coeur bat la mesure, enjoué et innocent, nageant dans la joie. Je ne fais plus qu'un avec la musique et sa pulsation heureuse, mon esprit s'envole, mon âme s'élève, la vie exsude de mon corps le temps d'une chanson. Je me perds de vue un instant et me lave dans ce chant de l'Univers qui m'arrive à moi, choisi et choyé. Je me retrouve neuf et préparé à de longs jours et de belles nuits. Je suis vivant, bien vivant, personne ne peut m'ôter ce privilège du tempo et de la mélodie dont j'ai hérité il y a longtemps, j'étais enfant. Je reviendrai demain, frais, dispos, et fier, et riche, mais je ne serai jamais sage, jamais. Et toujours, j'écoute du Rock.