dimanche 19 mars 2017

Le Rock c'est lui, c'est Chuck Berry.

Chuck Berry est mort. Il fallait bien que ça arrive un jour et c'est un jour triste pour les rockers et les poètes. Keith Richards dit de lui que "c'est William Shakespeare" et c'est vrai. Les textes de ses ritournelles sont simples et splendides. Vous avez déjà écouté attentivement "Menphis, Tennessee" ou "No particular place to go" ? C'est malicieux, grivois, bien jeté, senti, imparable. Comme "Johnny B. Goode" ou "Around and around". La musique quant à elle est une sorte de parangon du Rock primitif dans ce qu'il a de meilleur, de plus inventif et sauvage, de plus mélodieux et accrocheur.
Je n'ai pas de théorie ou d'idée neuve à proposer sur Chuck. Je l'ai principalement écouté en voiture pour rouler ou en soirée pour danser. Dans les deux cas il faisait merveille avec une égale facillité. Tout est d'une évidence lumineuse avec lui sans être jamais mièvre et même sa part d'ombre (immense) a servi son oeuvre de manière solaire. Il est de la trempe des Ellington, Hank Williams, Louis Armstrong, Nat King Cole, un des plus grands du XX eme siècle.
Nous avons un peu de chance dans notre malheur (c'est un "nous" de majesté) puisque il reste un album de Berry enregistré récemment à paraître. Qu'est ce que ça peut bien donner ? Et qu'est ce qu'il lui avait pris de faire un nouvel album quarante ans après le dernier et alors qu'il était déjà un mythe vivant ? Ca va certainement être interessant.
Le Printemps semble précoce cette année. Il est endeuillé par la mort de cet artiste immense qui n'a cessé de chanter la jeunesse triomphante, ses joies, ses peines et d'en faire, avec tous les autres, cet âge béni que nous cherchons tous à revivre incessament. Grâce à Chuck Berry, le Printemps semble éternel, pour une durée moyenne de deux minutes vingt secondes.
" I stole a kiss of the turn of her smile
  My curiosity was running wild
  Can you imagine the way I felt ?
  I could'nt pass on the safety belt..."

mercredi 15 mars 2017

User ses fonds de petite culotte sur des bancs pas nets

La plupart des femmes que je connais sont des chieuses patentées et des suçeuses inlassables. Faire chier et sucer, avec ça 50 % du temps de ceux qui les aiment est largement occupé. Le reste, c'est des truc pédés ou travs, pour la plupart : les fringues, les cunilingus, la plage sous le soleil, l'alcool...
ATTENTION la vidéo ci-dessous date d'une époque où, pour manger, boire, fumer, baiser, on était pas obligé de demander la permission à papa, maman, un collège de 12 médecins, son imam, le Vatican, le coach cuisinier et l'entraineur de l'équipe de n'importe quoi !

Encore une chanson hautement libératrice. Si seulement les femmes voulaient toutes s'en inspirer, plutôt que d'écouter leur imam, le Vatican etc, etc...
Sinon, y'a l'option considération, respect, amour mais les femmes ne savent pas quoi faire de tout ça. Un peu de brutalité et une inversion des rapports de force leur suffisent pour carburer au grès du vice. C'est assez dommage mais c'est comme ça. Amer, moi ? Garçon, une Suze !