Si seulement c'était un bon film....
Allez, il y a des "grands moments ", horripilants ou touchants au choix et une belle chanson, c'est deja pas mal.
lundi 20 décembre 2010
jeudi 16 décembre 2010
mardi 14 décembre 2010
Artmajeur Galerie d'Art en ligne Silvia Leveroni Calvi
Artmajeur Galerie d'Art en ligne Silvia Leveroni Calvi
Disponible maintenant : un recueil de quatorze de mes poèmes et du même nombre de reproductions de toiles de Silvia. Ça vibre, ça tient la route : 10 Euros (prix coûtant). Si ça vous intéresse, contactez-moi par l'intermédiaire de ce blog.
Disponible maintenant : un recueil de quatorze de mes poèmes et du même nombre de reproductions de toiles de Silvia. Ça vibre, ça tient la route : 10 Euros (prix coûtant). Si ça vous intéresse, contactez-moi par l'intermédiaire de ce blog.
A L’ÉCART
Soleil bruni s'écroule
Au lointain
Sur le divan du monde
Dans le brouillard doré
D'un crépi en ruine
Le dos au mur
Fraiche détrempe l'Ombre
Fait naître l'ancienne
Héliomètrie du
Temps passé qui affleure
Au geste de l'artiste
Ce bain d'ardeur
Où s'alanguit
Le songe baroque
Du vieux Napoli
Ça colle !
Ci-dessous pour ci-dessus
L'oeil appuyé
Puissance enclavée
Excavée
Libre de toute force
Échappant a sa propre réflexion
Arrive en ce point de l'oeil
Miracle de la vue
Chantournée
Balancée
Ou la vision
Renoue avec elle-même
Ivre avec douceur
Comme calme
Repères mouvants
Du chant plein
Des points fixes
A l'horizon
De l'Espace
Devenu notre
Au moment qu'on
Le lâche
Et qu'il nous laisse
Soulagés
De tendresse
Puissance enclavée
Excavée
Libre de toute force
Échappant a sa propre réflexion
Arrive en ce point de l'oeil
Miracle de la vue
Chantournée
Balancée
Ou la vision
Renoue avec elle-même
Ivre avec douceur
Comme calme
Repères mouvants
Du chant plein
Des points fixes
A l'horizon
De l'Espace
Devenu notre
Au moment qu'on
Le lâche
Et qu'il nous laisse
Soulagés
De tendresse
mardi 7 décembre 2010
C'est décembre
Donc :
Et :
Et ça aussi,
Et ce mystère insondable...
Et un poème horrible de Guy de Maupassant dont mon père est fanatique. Quand il le récite on sent bien qu'il a mal pour les petits oiseaux. Ses enfants peuvent bien geler en Enfer.
La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois.
Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de chaumes.
L'hiver s'est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l'horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu'elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s'empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde,
Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ;
Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.
Et :
Et ça aussi,
Et ce mystère insondable...
Et un poème horrible de Guy de Maupassant dont mon père est fanatique. Quand il le récite on sent bien qu'il a mal pour les petits oiseaux. Ses enfants peuvent bien geler en Enfer.
La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois.
Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de chaumes.
L'hiver s'est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l'horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu'elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s'empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde,
Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ;
Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.
Eureka !
Ca y est, la somme qui a lentement murie en moi est maintenant prête . Elle est ample, longue, inspirée. Elle parle de décadence, d'amour, de sexe, de vie et de mort. J'y brasse à peu près tout avec une maestria peu commune. Ca commence comme ça : " Depuis longtemps je me couche tard."
ET.....
ET.....
" Aux grands hommes la Patrie (du rire) reconnaissante"
J'ai l'impression que le cinéma et la télé on été inventés pour ce genre de trucs avant tout. Forever in my heart, Mr Nielsen.Ci-dessous : quelques exemples de débilités drolatiques dont il fut l'inénarrable, et jusqu'ici inégalé, protagoniste.
Ah les fins de "Police Squad" !!!
Je signale à qui veut l'entendre que la femme c'est Priscillia Presley la veuve d'Elvis. Le Rock mène à tout à condition d'en sortir.
Ah les fins de "Police Squad" !!!
Je signale à qui veut l'entendre que la femme c'est Priscillia Presley la veuve d'Elvis. Le Rock mène à tout à condition d'en sortir.
lundi 6 décembre 2010
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