mercredi 29 septembre 2010

Chabrol : pour en finir ( ou presque)

Chabrol disait :" Je ne vois pas la nécessité de faire autre chose que des polars. "
Maintenant voici ce qu'écrivaient Jean Cayrol et Claude Durand dans leur livre intitulé " Le droit de Regard ". Au début, quand il parlent du cinéma "aristocratique" ils font référence à celui du Hollywood des années trente, à  " Autant en emporte le vent", à celui qui sélectionne et met en scène de "belles images". Ca peut donc se référer à des bêtises comme "le Grand Bleu" par exemple. Après ce qu'ils disent s'applique à des metteurs en scène comme Chabrol :
" Mais il y a aussi un cinéma dont le regard n'est plus intermittent, aristocratique, mais indiscret au contaire, dénonciateur et parfois policier : oeuvre de spécialistes, démonstrateurs ou classificateurs, qui ne regardent pas pour croire à ce qu'ils regardent mais pour faire croire qu'ils regardent, qui choisissent d'emblée le quelconque pour avoir raison dans une sorte de commiseration sociale, et pour se convaincre en nous en renvoyant l'image qu'ils participent aux malheurs de notre société. "
C'est suffisamment clair comme ça ou faut-il que je developpe ?

mercredi 15 septembre 2010

ET MERDE !

FUCK THIS !

SANS COMMENTAIRE

RESTER EN VIE. C'EST TOUT. C'EST ÉNORME  ( comme la chanson ).
ET CHANTER jusqu'au bout du bout du bout du bout.....................

Chabrol ou un cinéma de classe moyenne.

OUF ! DÉBARRASSÉ !!! " C'EST CE QU'ON APPELLE LA CONNERIE TRANQUILLE !". TU l' AS DIT BOUFFI !

Je reviendrai sur Chabrol, si j'ai le temps. Un fameux fumiste fumeux.

samedi 11 septembre 2010

DEAD OR ALIVE

Suis-je vivant ? Suis-je mort ? Tout ce que je sais c'est que j'écris ces mots et que je vais poster une vidéo.
CE QUI NE PROUVE RIEN ( cf la dite vidéo )

vendredi 3 septembre 2010

Dormez, dormez encore
Il est l'heure qu'en rêve
Vous me fassiez plaisir
Et que je vous fasse pareil
En dormant, dormant aussi
Comme des enfants font
D'un songe à l'autre
Dans le sommeil calme
D'une nuit d'été

Alors
La bienveillance partagée
De l'Esprit qui veille
S'assurera qu'au moment,
Indistinct et silencieux
Ou nous nous rencontrerons
Dans l'ombre de nos âmes
ECLAIRCIE....
Nous nous souriions

jeudi 2 septembre 2010

NOUS NE SOMMES PLUS SEULS !

Le dernier roman d'Amélie Nothomb s'appelle " Une forme de vie" . C'est une réponse à la question que je pose à son sujet depuis le début ; qu'est ce que c'est qu'Amélie Nothomb ? et ça doit donc être une manière d'autobiographie inédite. Pourquoi inédite ? Parce que Nothomb n'est pas un être humain, ça se saurait depuis le temps, ni a fortiori un écrivain, ça se saurait aussi. Nous allons donc avoir le témoignage unique de " quelque chose", d'"Une forme de vie" encore non-identifiée qui parlera d'elle-même. Comme aucune méduse ou amibe n'avait jusqu'à présent parler de sa vie, à nous autres Humains, ce livre n'est pas seulement celui de la rentrée mais le plus important depuis la Bible. Ces passages télé devront donc être guettés par tous à l'égal des miracles que Le Christ fit jadis. Attention les yeux, âmes non-préparées s'abstenir, elle va parler.........

mercredi 1 septembre 2010

" Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. " (Rabelais)

A force de se multiplier, un jour Beaker prendra sa revanche ! C'est d'ailleurs bien parti !

TWICE AS GOOD

Ah, purée, je n'y tiens plus : Je le recolle ! BEAUTE !!! DEUX FOIS POUR LE PRIX D'UNE !!!  PUTAIN, PAS CHER !


EN BONUS : les paroles .
A noter : le tout début :
Oh yeah yeah yeah

Now if there's a smile on my face
It's only there trying to fool the public
But when it comes down to fooling you
Now honey that's quite a different subject
But don't let my glad expression
Give you the wrong impression
Really I'm sad, oh I'm sadder than sad
You're gone and I'm hurtin' so bad
Like a clown I pretend to be glad

Now there's some sad things known to man
But ain't too much sadder than
The tears of a clown, when there's no one around
Uh hum, oh yeah baby

Now if I appear to be carefree
It's only to camouflage my sadness
And honey to shield my pride I try
To cover this hurt with a show of gladness
But don't let my show convince you
That I've been happy since you
Decided to go, oh I need you so
I'm hurt and I want you to know
But for others I put on a show, ooh yeah

{repeat CHORUS}

Just like Pagliacci did
I try to keep my surface hid
Smiling in the public eye
But in my lonely room I cry
The tears of a clown
When there's no one around, oh yeah, baby baby
Now if there's a smile on my face
Don't let my glad expression
Give you the wrong impression
Don't let this smile I wear
Make you think that I don't care
When really I'm sad�I�m hurting so bad��