Est-ce que je suis affecté par le décès de Dennis Hopper ? Franchement , non. Ces créations ne m'ont jamais touché plus que ça. A quelques exceptions près, je trouve ce qu'il a fait assez moyen ( je ne dis pas " médiocre " parce que j'exècre ce mot que je laisse aux Nietzschéens), ses films, ses photos, ses peintures, beaucoup de boursouflures inutiles dans tout ça. J'aime bien la B.O de " Hot Spot" et " Colors" mais surtout à cause de Robert Duvall ( Ah, en voilà un dont je n'ai pas envie qu'il nous quitte trop vite ). En fait si je compare les performances des deux bonshommes, chez ce crétin savant de Toni Scott, par exemple, et leur filmos respectives en tant que réalisateur, je ne vois pas " photo" comme disent les turfistes du Bar PMU que je fréquente. Alors en hommage je vais mettre un truc bourrin mais pas complètement insupportable. Presque, mais non. Entre le grand-guignolesque et le truc de qualité. Assez comique au fond. Ça lui ira assez bien, je crois.
lundi 31 mai 2010
dimanche 30 mai 2010
Des flics à la mode de Quand
" Dennis Hopper est mort. " Tu parles d'une nouvelle ! Il a du mourir en 55-56, par là... On le voit néanmoins dans la vidéo qui suit en 1986 ( The American Way ). Étrange, non ?
Bah, La Brigade des Maléfices va nous élucider ça en une tasse de thé et un petit tour en side-car !
Affaire à suivre...Tiens, Jacques François !
Bah, La Brigade des Maléfices va nous élucider ça en une tasse de thé et un petit tour en side-car !
Affaire à suivre...Tiens, Jacques François !
samedi 29 mai 2010
Message in a bottle
Concernant la Police et pour ne plus avoir à y revenir, je pense que le métier de Policier est très utile mais que malheureusement il est exercé majoritairement par des Matamores que le port de l'uniforme et du pistolet met en joie et fait bomber du torse. Malheureusement, la plus grande partie des policiers joue aux cow-boys et aux indiens et n'ont aucun souci du service publique et de la protection des citoyens. Je peux en témoigner en tant que victime, alors même que je n'ai commis ni crimes ni délits. Ils paradent avec leurs joujoux létaux, en font usage sans sens de la mesure et dans un parfait sentiment d'impunité. Bien sur il est des policiers intelligents et professionnels qui font bien leur boulot et qui sont les premiers à se plaindre, si j'ai bien compris, de " la politique du chiffre " imposée par le Ministère de l'Intérieur et L'ÉLYSÉE ( je l'écris en gros au cas ou les policiers du net seraient un peu lents à la comprenante ) et des disparités d'effectif entre des zones " à risques ", où les policiers sont peu nombreux et des périmètres confortables ou ils sont sur-representés. Quant aux autres, ceux qui me hurlent dessus après que je me sois fais agressé que " C'est normal, t'as une tête à ça ! ", ceux qui refusent d'enregistrer mon témoignage spontané après que j'ai vu quelqu'un se faire tabassé par une bande et qui me disent de rentrer chez moi car je " trouble l'ordre publique", ceux-là, ils veulent des chars, des fusils d'assauts, doubler leur ration quotidienne de fortifiant et si des gens y passent, eh bien, c'est comme ça, ils avaient probablement " la tête à ça". Quant à la policière municipale qui a été tuée récemment par des membres d'un gang appartenant manifestement au grand banditisme, des gens extrêmement dangereux, des fous furieux, j'ai lu dans Libération qu'elle avaient été placée là où elle était, avec son coéquipier, " au cas où "..... Jamais, jamais des policiers municipaux n'auraient du être affectés à une mission qui n'est pas de leur compétence. Je n'excuse pas les malades qui ont tiré à l'arme lourde à tout va, la tuant et blessant grièvement une autre personne; que la Police fasse son travail et les retrouve ( vous verrez que là, ça va pas traîner ), mais il serait dommage que cette mort immonde soit utilisée par des policiers municipaux pour s'engager dans une course à l'armement qui excéderait de très loin les missions qui doivent leurs être confiées : circulation, simple présence préventive, stationnement, petit délit, conflit de voisinage ( et encore ). Je demande une chose : que faisait-elle là, cette policière municipale à attendre son terrible destin, qui l'avait mise, " au cas ou...", sur le chemin de ces tueurs ?
mardi 25 mai 2010
Les Marionnettes.
Désormais, chaque semaine, je mettrai en ligne sur ce blog un extrait du Muppet Show. J'attaque très fort avec le Cuisinier Suédois en plein délire NBA.
Gide, au gibet !
Gide disait d'Hugo "C'est le plus grand poète français, hélas... " Il était à moitié con, ce Gide. On pourrait dire de lui " L'un des plus grands écrivains français du XX ième siècle, hélas... " En fait, c'est faux, il n'était pas un grand écrivain, pas plus que Valery, d'ailleurs. Quant à Hugo, à savoir si.....
Un texte de lui, un indice, pour trouver votre réponse. C'est là, en dessous.
Au commencement, Dieu vit un jour dans l'espace
Iblis venir a lui; Dieu dit:--Veux-tu ta grâce?
--Non, dit le Mal.--Alors que me demandes-tu?
--Dieu, répondit Iblis de ténèbres vêtu,
Joutons a qui créera la chose la plus belle.
L'Etre dit: J'y consens.--Voici, dit le Rebelle;
Moi, je prendrai ton oeuvre et la transformerai.
Toi, tu féconderas ce que je t'offrirai;
Et chacun de nous deux soufflera son génie
Sur la chose par l'autre apportée et fournie.
--Soit. Que te faut-il? Prends, dit l'Etre avec dédain.
--La tête du cheval et les cornes du daim.
--Prends.--Le monstre hésitant que la brume enveloppe
Reprit:--J'aimerais mieux celle de l'antilope.
--Va, prends.--Iblis entra dans son antre et forgea.
Puis il dressa le front.--Est-ce fini déjà?
--Non.--Te faut-il encor quelque chose? dit l'Etre.
--Les yeux de l'éléphant, le cou du taureau, maître.
--Prends.--Je demande en outre, ajouta le Rampant,
Le ventre du cancer, les anneaux du serpent,
Les cuisses du chameau, les pattes de l'autruche.
--Prends.--Ainsi qu'on entend l'abeille dans la ruche,
On entendait aller et venir dans l'enfer
Le démon remuant des enclumes de fer.
Nul regard ne pouvait voir a travers la nue
Ce qu'il faisait au fond de la cave inconnue.
Tout a coup, se tournant vers l'Etre, Iblis hurla
--Donne-moi la couleur de l'or. Dieu dit:--Prends-la.
Et, grondant et râlant comme un boeuf qu'on égorge,
Le démon se remit a battre dans sa forge;
Il frappait du ciseau, du pilon, du maillet,
Et toute la caverne horrible tressaillait;
Les éclairs des marteaux faisaient une tempête;
Ses yeux ardents semblaient deux braises dans sa tête;
Il rugissait; le feu lui sortait des naseaux,
Avec un bruit pareil au bruit des grandes eaux
Dans la saison livide ou la cigogne émigre.
Dieu dit:--Que te faut-il encor?--Le bond du tigre.
--Prends.--C'est bien, dit Iblis debout dans son volcan,
Viens m'aider a souffler, dit-il a l'ouragan.
L'âtre flambait; Iblis, suant a grosses gouttes,
Se courbait, se tordait, et, sous les sombres voûtes,
On ne distinguait rien qu'une sombre rougeur
Empourprant le profil du monstrueux forgeur.
Et l'ouragan l'aidait, étant démon lui-même.
L'Etre, parlant du haut du firmament suprême,
Dit:--Que veux-tu de plus?--Et le grand paria,
Levant sa tête énorme et triste, lui cria:
--Le poitrail du lion et les ailes de l'aigle.
Et Dieu jeta, du fond des éléments qu'il règle,
A l'ouvrier d'orgueil et de rébellion
L'aile de l'aigle avec le poitrail du lion.
Et le démon reprit son oeuvre sous les voiles.
--Quelle hydre fait-il donc? demandaient les étoiles.
Et le monde attendait, grave, inquiet, béant,
Le colosse qu'allait enfanter ce géant.
Soudain, on entendit dans la nuit sépulcrale
Comme un dernier effort jetant un dernier râle;
L'Etna, fauve atelier du forgeron maudit,
Flamboya; le plafond de l'enfer se fendit,
Et, dans une clarté blême et surnaturelle,
On vit des mains d'Iblis jaillir la sauterelle.
Et l'infirme effrayant, l'être aile, mais boiteux,
Vit sa création et n'en fut pas honteux,
L'avortement étant l'habitude de l'ombre.
Il sortit a mi-corps de l'éternel décombre,
Et, croisant ses deux bras, arrogant, ricanant,
Cria dans l'infini:--Maître, a toi maintenant!
Et ce fourbe, qui tend a Dieu même une embûche,
Reprit:--Tu m'as donne l'éléphant et l'autruche,
Et l'or pour dorer tout; et ce qu'ont de plus beau
Le chameau, le cheval, le lion, le taureau,
Le tigre et l'antilope, et l'aigle et la couleuvre;
C'est mon tour de fournir la matière a ton oeuvre;
Voici tout ce que j'ai. Je te le donne. Prends.--
Dieu, pour qui les méchants mêmes sont transparents,
Tendit sa grande main de lumière baignée
Vers l'ombre, et le démon lui donna l'araignée.
Et Dieu prit l'araignée et la mit au milieu
Du gouffre qui n'était pas encor le ciel bleu;
Et l'esprit regarda la bête; sa prunelle,
Formidable, versait la lueur éternelle;
Le monstre, si petit qu'il semblait un point noir,
Grossit alors, et fut soudain énorme a voir;
Et Dieu le regardait de son regard tranquille;
Une aube étrange erra sur cette forme vile;
L'affreux ventre devint un globe lumineux;
Et les pattes, changeant en sphères d'or leurs noeuds,
S'allongèrent dans l'ombre en grands rayons de flamme.
Iblis leva les yeux; et tout a coup l'infâme,
Ébloui, se courba sous l'abîme vermeil;
Car Dieu, de l'araignée, avait fait le soleil.
Un texte de lui, un indice, pour trouver votre réponse. C'est là, en dessous.
Au commencement, Dieu vit un jour dans l'espace
Iblis venir a lui; Dieu dit:--Veux-tu ta grâce?
--Non, dit le Mal.--Alors que me demandes-tu?
--Dieu, répondit Iblis de ténèbres vêtu,
Joutons a qui créera la chose la plus belle.
L'Etre dit: J'y consens.--Voici, dit le Rebelle;
Moi, je prendrai ton oeuvre et la transformerai.
Toi, tu féconderas ce que je t'offrirai;
Et chacun de nous deux soufflera son génie
Sur la chose par l'autre apportée et fournie.
--Soit. Que te faut-il? Prends, dit l'Etre avec dédain.
--La tête du cheval et les cornes du daim.
--Prends.--Le monstre hésitant que la brume enveloppe
Reprit:--J'aimerais mieux celle de l'antilope.
--Va, prends.--Iblis entra dans son antre et forgea.
Puis il dressa le front.--Est-ce fini déjà?
--Non.--Te faut-il encor quelque chose? dit l'Etre.
--Les yeux de l'éléphant, le cou du taureau, maître.
--Prends.--Je demande en outre, ajouta le Rampant,
Le ventre du cancer, les anneaux du serpent,
Les cuisses du chameau, les pattes de l'autruche.
--Prends.--Ainsi qu'on entend l'abeille dans la ruche,
On entendait aller et venir dans l'enfer
Le démon remuant des enclumes de fer.
Nul regard ne pouvait voir a travers la nue
Ce qu'il faisait au fond de la cave inconnue.
Tout a coup, se tournant vers l'Etre, Iblis hurla
--Donne-moi la couleur de l'or. Dieu dit:--Prends-la.
Et, grondant et râlant comme un boeuf qu'on égorge,
Le démon se remit a battre dans sa forge;
Il frappait du ciseau, du pilon, du maillet,
Et toute la caverne horrible tressaillait;
Les éclairs des marteaux faisaient une tempête;
Ses yeux ardents semblaient deux braises dans sa tête;
Il rugissait; le feu lui sortait des naseaux,
Avec un bruit pareil au bruit des grandes eaux
Dans la saison livide ou la cigogne émigre.
Dieu dit:--Que te faut-il encor?--Le bond du tigre.
--Prends.--C'est bien, dit Iblis debout dans son volcan,
Viens m'aider a souffler, dit-il a l'ouragan.
L'âtre flambait; Iblis, suant a grosses gouttes,
Se courbait, se tordait, et, sous les sombres voûtes,
On ne distinguait rien qu'une sombre rougeur
Empourprant le profil du monstrueux forgeur.
Et l'ouragan l'aidait, étant démon lui-même.
L'Etre, parlant du haut du firmament suprême,
Dit:--Que veux-tu de plus?--Et le grand paria,
Levant sa tête énorme et triste, lui cria:
--Le poitrail du lion et les ailes de l'aigle.
Et Dieu jeta, du fond des éléments qu'il règle,
A l'ouvrier d'orgueil et de rébellion
L'aile de l'aigle avec le poitrail du lion.
Et le démon reprit son oeuvre sous les voiles.
--Quelle hydre fait-il donc? demandaient les étoiles.
Et le monde attendait, grave, inquiet, béant,
Le colosse qu'allait enfanter ce géant.
Soudain, on entendit dans la nuit sépulcrale
Comme un dernier effort jetant un dernier râle;
L'Etna, fauve atelier du forgeron maudit,
Flamboya; le plafond de l'enfer se fendit,
Et, dans une clarté blême et surnaturelle,
On vit des mains d'Iblis jaillir la sauterelle.
Et l'infirme effrayant, l'être aile, mais boiteux,
Vit sa création et n'en fut pas honteux,
L'avortement étant l'habitude de l'ombre.
Il sortit a mi-corps de l'éternel décombre,
Et, croisant ses deux bras, arrogant, ricanant,
Cria dans l'infini:--Maître, a toi maintenant!
Et ce fourbe, qui tend a Dieu même une embûche,
Reprit:--Tu m'as donne l'éléphant et l'autruche,
Et l'or pour dorer tout; et ce qu'ont de plus beau
Le chameau, le cheval, le lion, le taureau,
Le tigre et l'antilope, et l'aigle et la couleuvre;
C'est mon tour de fournir la matière a ton oeuvre;
Voici tout ce que j'ai. Je te le donne. Prends.--
Dieu, pour qui les méchants mêmes sont transparents,
Tendit sa grande main de lumière baignée
Vers l'ombre, et le démon lui donna l'araignée.
Et Dieu prit l'araignée et la mit au milieu
Du gouffre qui n'était pas encor le ciel bleu;
Et l'esprit regarda la bête; sa prunelle,
Formidable, versait la lueur éternelle;
Le monstre, si petit qu'il semblait un point noir,
Grossit alors, et fut soudain énorme a voir;
Et Dieu le regardait de son regard tranquille;
Une aube étrange erra sur cette forme vile;
L'affreux ventre devint un globe lumineux;
Et les pattes, changeant en sphères d'or leurs noeuds,
S'allongèrent dans l'ombre en grands rayons de flamme.
Iblis leva les yeux; et tout a coup l'infâme,
Ébloui, se courba sous l'abîme vermeil;
Car Dieu, de l'araignée, avait fait le soleil.
lundi 24 mai 2010
Tais-toi et chante !
Alain Chamfort a toujours eu le chic pour fermer sa gueule et faire ce qu'on lui disait de faire, au bon moment. C'est aussi une forme de talent, et même assez rare. Alors, Cloclo lui a dit d'enregistrer une version française de " Could it be magic" de l' inénarrable Barry Manilow, il l'a fait et c'est bon C'est "Le temps qui court", que l'on retrouve ci-dessous. Après il a recopié les devoirs de Gainsbourg et c'est bon aussi. Récemment il a pondu une copie sur Yves Saint-Laurent et c'est bon encore. Reste le " problème " de l'adaptateur de la chanson de Manilow en français. C'est Jean-Michel Jarre. Comprends pas. Ce bellâtre mal léché et trop bien peigné, ce musicien inepte et mégalo a tout de même réussi à fourbir Christophe, Juvet et Chamfort en textes de première bourre. D'accord, c'est pas du Bécaud ou du Brassens mais c'est bon. Au delà des talents rares il y a ceux qui échappent à toute tentative d'analyse. En tout cas, moi ça me dépasse. Si vous avez des tuyaux un tant soit peu crédibles sur ce mystère éminent, faites-moi signe, je vous en serait reconnaissant parce qu'un mec qui commence une chanson par " Et finalement..." NE PEUT PAS être si nul que ça
dimanche 23 mai 2010
Suite judy blue eyes
Chanson superbe, paroles à tomber. Là c'est Judy Collins qui s'y colle.
Là c'est Frank " blue-eyed " Sinatra. Comme dit Skorecki, il a l'air de comprendre les paroles. Merci Mr Sondheim.
Les paroles :
Isn't it rich, are we a pair
Me here at last on the ground
You in mid-air
Send in the clowns
Isn't it bliss, don't you approve
One who keeps tearing around
One who can't move
Where are the clowns
Send in the clowns
Just when I'd stopped opening doors
Finally knowing the one that I wanted was yours
Making my entrance again with my usual flair
Sure of my lines
No one is there
Don't you love a farce,
My fault I fear,
I thought that you'd want what I want
Sorry my dear!
But where are the clowns
There ought to be clowns
Quick send in the clowns
What a surprise,
Who could foresee?
I'd come to feel about you
What you felt about me?
Why only now when I see
That you've drifted away?
What a surprise...
What a cliche...
Isn't it rich, isn't it queer
Losing my timing this late in my career
And where are the clowns
Quick send in the clowns
Don't bother, they're here
Là c'est Frank " blue-eyed " Sinatra. Comme dit Skorecki, il a l'air de comprendre les paroles. Merci Mr Sondheim.
Les paroles :
Isn't it rich, are we a pair
Me here at last on the ground
You in mid-air
Send in the clowns
Isn't it bliss, don't you approve
One who keeps tearing around
One who can't move
Where are the clowns
Send in the clowns
Just when I'd stopped opening doors
Finally knowing the one that I wanted was yours
Making my entrance again with my usual flair
Sure of my lines
No one is there
Don't you love a farce,
My fault I fear,
I thought that you'd want what I want
Sorry my dear!
But where are the clowns
There ought to be clowns
Quick send in the clowns
What a surprise,
Who could foresee?
I'd come to feel about you
What you felt about me?
Why only now when I see
That you've drifted away?
What a surprise...
What a cliche...
Isn't it rich, isn't it queer
Losing my timing this late in my career
And where are the clowns
Quick send in the clowns
Don't bother, they're here
Spéciale dedicace à nos amis les footeux.
Évidemment, on ne s'étonne plus de rien, à force. Mais quand même, là, je ne sais pas quoi dire si ce n'est : bon courage Sidney, Karim et Franck. Ça sentait mauvais dès le départ, les gars. Enfin quoi, le faisandé, ça se renifle, non ? Remarquez que vous n'êtes pas les seuls, le Président Zyzy et Coach Raymond souffrent apparemment de la même absence d'appendice nasal ( où alors d'un degré ultime de perversité). Allez plus que 4 ou 5 ans à tirer et puis coucouche-panier !
vendredi 21 mai 2010
Relatives and elders
Brian Wilson, une autre des voix les plus belles, avait une idée :" Ecrire une symphonie adolescente pour Dieu ". Comment cela lui est-il venu ? Des éléments de réponses en-dessous. Ce n'est pas la peine de regarder les photos de la vidéo qui accompagne les Beach Boys. Si Dieu est certainement pour quelque chose dans les couchers de soleil, c'est le Diable qui prend les photos pour les vendre sous forme de cartes postales.
LE VIETNAM, C'ETAIT TROP BEAU POUR ÊTRE VRAI
COMME JE DIS DES FOIS : AUSSI BEAU JE CONNAIS, PLUS BEAU, NON.
Mise en scène : Michael CIMINO.
Acteurs : Robert DE NIRO, Christopher WALKEN, John CAZALE, John SAVAGE, George DZUNDZA, Chuck ASPEGREN, Shirley STOLER.
Musique ( DANS le film ) : Frankie VALLI.
Directeur de la photographie : Vilmos ZSIGMOND
Mise en scène : Michael CIMINO.
Acteurs : Robert DE NIRO, Christopher WALKEN, John CAZALE, John SAVAGE, George DZUNDZA, Chuck ASPEGREN, Shirley STOLER.
Musique ( DANS le film ) : Frankie VALLI.
Directeur de la photographie : Vilmos ZSIGMOND
DEMONS
EN HOMMAGE A TOUS LES MEMBRES DES FORCES DE L'ORDRE QUI TOMBENT COMME DES MOUCHES SOUS LES BALLES DES RACAILLES DE TOUS POILS, CE MORCEAU D'UNE GENTILLE BANDE DE JEUNES AMÉRICAINS. JE NE SUIS PAS TRÈS BON EN ANGLAIS MAIS JE CROIS QU'ON PEUT ,SANS TROP S'AVANCER, TRADUIRE LE TITRE DE LA CHANSON COMME SUIT : " VIVE LA POLICE ".
EN-DESSOUS TOUJOURS EN SPÉCIALE DÉDICACE POUR NOS FRÈRES LES PANDORES, JOHNNY CASH DANS UN DE SES TOUS MEILLEURS RÔLES.
ALORS " VIVE LA POLICE ", DONC !
EN-DESSOUS TOUJOURS EN SPÉCIALE DÉDICACE POUR NOS FRÈRES LES PANDORES, JOHNNY CASH DANS UN DE SES TOUS MEILLEURS RÔLES.
ALORS " VIVE LA POLICE ", DONC !
SOSIE
LOUIS DE FUNES ÉTAIT TRÈS DRÔLE EN ACTEUR COMIQUE. IL L'EST MOINS EN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE.
BEAUCOUP MOINS MÊME.
KOLOSSALE FINESSE !
BEAUCOUP MOINS MÊME.
KOLOSSALE FINESSE !
jeudi 20 mai 2010
J'entends des Voix
Il y a des voix. De toutes sortes. Qui apaisent, soignent, enflamment, tétanisent. En voici trois parmi les plus belles, tirées du catalogue du fameux label Motown auquel les puristes ( qu'ils aillent au Diable ! ) ont toujours reproché ses arrangements chantournés et colorés, tirés à quatre épingles, et surtout le fait de viser clairement le cross-over, c'est à dire le public blanc, et le top des hit-parades. J'ai rarement vu une politique commerciale aussi claire faire naître une esthétique aussi belle. Mais c'est peut -être l'inverse qu'il faut écrire : une politique commerciale aussi belle faire naître une esthétique aussi claire. Gloire soit donc rendue à Berry Gordy, le créateur de Motown et du hit " Money (That's what I want )". En Art, la Beauté n'a pas de prix, c'est pour cela qu'elle coûte si cher.
Par la grâce du " net " on peut se permettre d'aligner là les trois voix sus-dites, presque nues, " a cappella" comme on dit, sans la musique. La musique justement. Pour bien emmerder les puristes, l'âme de celle de" Tears of a clown " est essentiellement faite de clavecin ou piano forte, de basson, de flûte traversière. Eh Eh, voilà qui pue son Mozart à plein nez ! Pincez vous-le donc si ça ne sent pas assez la sueur du Big O ! Pour moi, Smokey Robinson a l'une des cinq ou six plus belles voix que j'ai jamais entendues. Il est toujours en vie et en activité, je lui dois beaucoup de beaux et bons moments. Merci Smokey.
Alors, de haut en bas :
Smokey Robinson chante "Tears of a clown " accompagné des seuls choeurs des Miracles.
Smokey Robinson chante " Tears of a clown avec les Miracles et la musique. ( Dans la série d'images animées on voit bien le beau Smokey et ses mastards d'acolytes. )
David Ruffin chante ' I wish it would rain " accompagné des seuls Temptations, sans musique
Levi Stubbs chante " Walk away Renee " accompagné des seules voix des Four tops.
Une bande de branleurs anglais, appelée The Beat chante " Tears of a clown " façon Ska avec armes et bagages.
C'est clair ? Oui. Let's roll.
Par la grâce du " net " on peut se permettre d'aligner là les trois voix sus-dites, presque nues, " a cappella" comme on dit, sans la musique. La musique justement. Pour bien emmerder les puristes, l'âme de celle de" Tears of a clown " est essentiellement faite de clavecin ou piano forte, de basson, de flûte traversière. Eh Eh, voilà qui pue son Mozart à plein nez ! Pincez vous-le donc si ça ne sent pas assez la sueur du Big O ! Pour moi, Smokey Robinson a l'une des cinq ou six plus belles voix que j'ai jamais entendues. Il est toujours en vie et en activité, je lui dois beaucoup de beaux et bons moments. Merci Smokey.
Alors, de haut en bas :
Smokey Robinson chante "Tears of a clown " accompagné des seuls choeurs des Miracles.
Smokey Robinson chante " Tears of a clown avec les Miracles et la musique. ( Dans la série d'images animées on voit bien le beau Smokey et ses mastards d'acolytes. )
David Ruffin chante ' I wish it would rain " accompagné des seuls Temptations, sans musique
Levi Stubbs chante " Walk away Renee " accompagné des seules voix des Four tops.
Une bande de branleurs anglais, appelée The Beat chante " Tears of a clown " façon Ska avec armes et bagages.
C'est clair ? Oui. Let's roll.
mardi 18 mai 2010
Stéphane Hessel, encore et toujours
LA BANDE-ANNONCE INTÉRESSANTE D'UN FILM QUI NE L'EST PAS MOINS ET QUI EMBÊTE BIEN NOTRE RIDICULE PRÉSIDENT ZYZY !
dimanche 16 mai 2010
ROCK ON THE ROCK
- Et pour ces Messieurs dames, qu'est-ce que çe sera ?
- Deux Rocks, bien frais, faîtes à votre idée.
- Je remercie Monsieur de la confiance qu'il veut bien m'accorder. Alors je vous propose un Bijou saignant sur fond noir avec un Vincent Palmer à la nage et un Dr Feelgood en habits avec un Lee Brilleaux brillant et un Wilko Johnson plus "Machine Gun " que jamais.
- Très bien. Juste une question... La provenance ?
- 100 % banlieue origine contrôlée, Monsieur. Aucun risque, c'est pas du Versailles.
- Ah, parfait.
- Autre chose, Monsieur ?
- Pas pour l'instant.
- Alors c'est parti.
- Deux Rocks, bien frais, faîtes à votre idée.
- Je remercie Monsieur de la confiance qu'il veut bien m'accorder. Alors je vous propose un Bijou saignant sur fond noir avec un Vincent Palmer à la nage et un Dr Feelgood en habits avec un Lee Brilleaux brillant et un Wilko Johnson plus "Machine Gun " que jamais.
- Très bien. Juste une question... La provenance ?
- 100 % banlieue origine contrôlée, Monsieur. Aucun risque, c'est pas du Versailles.
- Ah, parfait.
- Autre chose, Monsieur ?
- Pas pour l'instant.
- Alors c'est parti.
vendredi 7 mai 2010
Bite back twice as hard
Un des pères de la contestation ( on y est donc) chantée. Une chanson n'a jamais révolutionné le monde, mais elle peut changer des gens. C'est déja pas mal et c'est pour ça que les poètes sont insupportables au pouvoirs politiques : ils échappent à la machine à broyer les corps et les âmes des idéologies folles. Dès Platon, il fallait exclure les poètes de la Cité. Manque de bol, ils sont indispensables, parce que la Poésie est indispensable, comme disait Baudelaire. Maintenant, prenons garde et ne mélangeons pas tout. Beyonce ou Rhianna n'ont rien à voir avec la poèsie mais, comme dirait Lemmy, si jamais on en vient à adopter les mesures adéquates, c'est à dire les manger, je veux bien un haut morçeau d'une de ses donzelles qui nous empoisonnent l'existence. Je dis ça parce que je les vois de temps en temps à la télé mais dans mon entourage ( j'ai des mauvaises fréquentations ) il y a quelques petites poules dont je prendrais bien une aile. Et ce n'est pas une métaphore. Par contre, je ne suis pas sûr qu'elle passent le cut du label Bio. Je ferais sans, tant pis.
UNE REPONSE, DEJA.
L'actualité l'exigeant, je saute quelques étapes et vous énonce ma solution, simpliste mais efficace : PRENDRE L'ARGENT LA OU IL EST. Lemmy nous aidera j'en suis certain.
NB : Bill Wyman des Rolling Stones fait un featuring dans la première série d'images.
Un peu de morale en route ne fait pas de mal. ET toujours taper là où ça leur fait mal : au portefeuille.
NB : Quel solo de gratte, quelles paroles ! ( bonne série d'images)
NB : Bill Wyman des Rolling Stones fait un featuring dans la première série d'images.
Un peu de morale en route ne fait pas de mal. ET toujours taper là où ça leur fait mal : au portefeuille.
NB : Quel solo de gratte, quelles paroles ! ( bonne série d'images)
jeudi 6 mai 2010
FIRST OF ALL, THEN......
Je vous dirais ce qui se passe après un autre jour mais en premier LIEU il faut ACCEPTER.Voici deux exemples chantés d'acceptation. L'une est solaire ou lunaire, en tout cas lumineux et me rappelle la lumière d'Algérie si bien décrite par Camus où certaines nuits de la semaine dernière, pendant la Lune Rousse. L'autre peut sembler amère mais au fond je ne la ressens pas comme telle. Elle est ironique mais, Burroughs était trop intelligent pour ne pas savoir exactement le sens du " Thanksgiving "américain, et surtout, bien trop bien élevé, comme le décrit Kerouac dans " Sur la route", pour ne pas en tirer les conclusions qui s'imposaient à lui. Mais deja c'est presque anticiper sur "ce qui vient ", car le fait d'ACCEPTER induit OBLIGATOIREMENT deux ou trois choses. Mais chut ! pour le moment et DONC
mercredi 5 mai 2010
A DAY IN A LIFE
VOILA, A MON GOÛT, UNE BONNE PHOTO. VOUS ME DIREZ QUE J'AI BEAU JEU DE DIRE CA VU QUE C'EST MOI QUI L'AIT PRISE. MOI ! MOI ! MOI ! JE SAIS BIEN QUE GOMBROVITCH L'A ECRIT, N'EMPECHE, C'EST VITE DIT CA .
mardi 4 mai 2010
SOMETIMES IN MAY IT....
RIEN NE DURE. MAIS IL N'Y A PAS DE RAISONS D'ÊTRE DESESPERE !TRISTE SUFFIRA.
SPIRIT OF 73 (1873 or 1973 ?)
CE N'EST PAS QUE LE FILM SOIT BON. IL L'EST PRESQUE, COMME SON NOM L'INDIQUE. CE N'EST PAS QUE KATE HUDSON SOIT JOLIE. ELLE EST MAGNIFIQUE, MAIS A DEJA RATE SA CARRIERE. C'EST SURTOUT QUE LA CHANSON DE SIR ELTON JOHN EST L'UNE DE SES PLUS BELLES. IL N'ETAIT PAS TROP DIFFICILE POUR CAMERON CROWE DE FAIRE UN "MOMENT D'EMOTION " AVEC UN TEL TITRE. MAI-Z-ENFIN JE LUI SAIS GRE D'AVOIR INCLUS LA CHANSON DANS L'ACTION DU FILM ELLE-MÊME. J'AI TOUJOURS ADORE VOIR CE GENRE DE CHOSES. LA PREUVE PAR LUBITSCH JUSTE EN DESSOUS. PLUS BAS, DES PENSEES PARASITES... A MOINS QU'IL NE S'AGISSE D'ASSOCIATIONS LIBRES... QUI AURAIENT UN SENS ? DES PIECES JOINTES DIRAIT-ON AUJOURD'HUI. ALLEZ SAVOIR !
lundi 3 mai 2010
COMING SOON : A DISASTER.
Long as I remember
The rain been comin' down.
Clouds of myst'ry pourin'
Confusion on the ground.
Good men through the ages,
Tried to find the sun;
And I wonder, still I wonder,
Who'll stop the rain.
I went down Virginia,
Seekin' shelter from the storm.
Caught up in the fable,
I watched the tower grow.
Five year plans and new deals,
Wrapped in golden chains.
And I wonder, still I wonder
Who'll stop the rain.
Heard the singers playin',
How we cheered for more.
The crowd had rushed together,
Tryin' to keep warm.
Still the rain kept pourin',
Fallin' on my ears.
And I wonder, still I wonder
Who'll stop the rain.
The rain been comin' down.
Clouds of myst'ry pourin'
Confusion on the ground.
Good men through the ages,
Tried to find the sun;
And I wonder, still I wonder,
Who'll stop the rain.
I went down Virginia,
Seekin' shelter from the storm.
Caught up in the fable,
I watched the tower grow.
Five year plans and new deals,
Wrapped in golden chains.
And I wonder, still I wonder
Who'll stop the rain.
Heard the singers playin',
How we cheered for more.
The crowd had rushed together,
Tryin' to keep warm.
Still the rain kept pourin',
Fallin' on my ears.
And I wonder, still I wonder
Who'll stop the rain.
dimanche 2 mai 2010
COUPLET
SI VOUS TROUVEZ LE LIEN ENTRE CES DEUX CHANSONS VOUS ÊTES FORT.
ALLEZ, JE VOUS LE DIS. C'EST LA MÊME !
ALLEZ, JE VOUS LE DIS. C'EST LA MÊME !
Another uneasy sunday
Feel like a greyhound swamping in the bushes
Get sick and tired of the hurricane
Where have I lay down my mother's body ?
Can't remember what have I did 'bout the spaceship either
And now it's too far away to get back
I've been a grown-up when I was young
Now I feel like a new-born once again
In the cellar of my peeping-tom father
Sometimes it's hard to lick a candy
Don't you find so jolly good mermaid ?
And i'm pissed off with the humanity of the nightmares
Do you know where the moon is tonight ?
I've put it in my pocket and I feel it sliding to my dick
Will I have an orgasm before going to sleep ?
I saw my bed in a TV reality-show
It's covered with filth anf a gingerhead junkie is naked on it
What is she waiting for ? don't need her in anyway
Well i'm closing the bar with the nighthawk again
And he is not so funny he said
The check is on me and the music stops
That's no way to treat a man
But I' ve never give up and never will
Never
(and you're not in such shape to dare to talk to me like that motherfucker )
Get sick and tired of the hurricane
Where have I lay down my mother's body ?
Can't remember what have I did 'bout the spaceship either
And now it's too far away to get back
I've been a grown-up when I was young
Now I feel like a new-born once again
In the cellar of my peeping-tom father
Sometimes it's hard to lick a candy
Don't you find so jolly good mermaid ?
And i'm pissed off with the humanity of the nightmares
Do you know where the moon is tonight ?
I've put it in my pocket and I feel it sliding to my dick
Will I have an orgasm before going to sleep ?
I saw my bed in a TV reality-show
It's covered with filth anf a gingerhead junkie is naked on it
What is she waiting for ? don't need her in anyway
Well i'm closing the bar with the nighthawk again
And he is not so funny he said
The check is on me and the music stops
That's no way to treat a man
But I' ve never give up and never will
Never
(and you're not in such shape to dare to talk to me like that motherfucker )
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